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    -L'Internationale des travailleurs: urgence !

     

     

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    L'Internationale des travailleurs: une urgente nécessité.

    Nous avons beaucoup glosé sur la nécessité d'en finir avec la démocratie parlementaire, d'en venir à la démocratie directe. nous avons omis d'ouvrir la perspective de reconstruire une Internationale des travailleurs, ouverte à tous les travailleurs, non pas d'abord pour établir un programme, non pas pour définir a priori une future société non capitaliste, mais simplement en premier lieu pour lutter contre la concurrence capitaliste qui se fait sur le dos des travailleurs, et pour unir les forces de ces derniers dans tous les conflits sociaux, circonscris soigneusement au niveau national...

    Nous ne pouvions le faire car le mouvement communiste nous avait formatés à l'idée que seule une internationale communiste devait exister, et non pas une internationale de travailleurs comme l'AIT au 19ème siècle

    Aujourd'hui en 2019, il n'y a pas d'internationale pour dire "Non à la guerre", pour venir "au secours de migrants", pour coordonner ce secours dans tous les pays d'où partent les migrants, pour dire "non aux licenciements", pour dénoncer journellement les mauvais coups des holdings, pour préserver et promouvoir les services publics, pour lutter contre le patriarcat, pour coordonner une action unitaire à tous les niveaux en s'opposant aux querelles personnelles des différents groupes...

    mai 2019

     

     

     

    Un exemple ancien

    Voici, à propos du conflit autour de PSA en 2012, comment se concrétise l'urgence d'en venir à la reconstruction d'une Association internationale des travailleurs, dont la première, sous l'impulsion de Marx, vit le jour en 1864.


    Le syndicat CGT de l'usine PSA de Saint Ouen a publié, dans un tract du 6 juillet 2012, l'argumentaire suivant pour répondre à la direction de PSA. Examinons ensuite en quoi cet argumentaire est étranger non seulement à une analyse de classe mais à toute perspective internationaliste.

    L E TRACT:


    Titre : Les mensonges de PSA : un argumentaire pour y répondre

     


    Les ventes PSA en recul en juin en France ?


    Cela va dans le sens de la direction qui dit que tout va mal. Depuis le début de l'année les ventes de Renault et de Fiat ont plus reculé que celles de PSA mais personne ne le dit. Il y a 15 ans, PSA vendait 2 millions de voitures. Aujourd'hui, c'est 3,6 millions. 2010 a été le record des ventes PSA. Et si le record a été raté de peu en 2011, PSA l'avoue : c'est à cause du tsunami japonais ! Où est l'écroulement du marché ? Arrêtons la désinformation.


    Il y a trop d'usines PSA en France ?


    De 2007 à 2012, La production moyenne totale des 5 usines de montage en France est de 1 234 000 voitures par an. En 2011, il y a eu 1 242 710voitures montées dans ces 5 usines en France. (donc plus que la moyenne) Il n'y a donc pas de " surcapacités Par contre, la production des usines de Poissy, Sochaux et Mulhouse a augmenté au détriment de celle d'Aulnay et de Rennes. Mais cette déstabilisation d'Aulnay a été voulue et organisée par PSA, depuis trois ans. Pour Rennes, c'est le choix de ne pas y produire la future C5 qui inquiète. Il suffit donc d'alléger Poissy, Mulhouse et Sochaux pour fournir du travail à Aulnay et à Rennes


    Oui mais si les voitures ne se vendent pas ?


    Aulnay fabrique la C3, la voiture la plus vendue du groupe ! De l'aveu-même de Denis MARTIN, il reste 450 000 C3 à fabriquer, de quoi donner du travail au site jusque fin 2016, avant de remplacer la C3 par un autre véhicule.
    Aulnay n'est pas rentable ?
    Les " experts " automobile disent qu'une usine est rentable à partir de 75% d'utilisation. Aulnay tourne en ce moment à 100%, après avoir tourné pendant des années à 130% !


    Alors, pourquoi PSA veut fermer Aulnay ?


    Parce que ses dirigeants veulent fabriquer le même nombre de voitures sur 4 usines au lieu de 5 en surchargeant Poissy et Mulhouse. Par exemple, cette année, Sochaux a récupéré la 308 pour décharger Mulhouse qui a monté en régime la 208… pour soulager Poissy qui, du coup, a les moyens de fabriquer plus de C3, au détriment d'Aulnay !


    PSA veut faire la même production avec plusieurs milliers de paies en moins !

    Que faudrait-il faire alors ?


    Répartir plus équitablement les productions sur tous les sites, ce qui éviterait les horaires à rallonge sur certains sites pendant que d'autres chôment ou sont menacés de fermeture


    Mais ça va coûter de l'argent et PSA dit qu'il n'en a pas ?


    PSA a cumulé 10 milliards de bénéfices depuis 10 ans. Il y a un an, le PDG annonçait 11 milliards d'euros de réserves financières. Où est passé cet argent ? Il est normal que l'année qui suit les primes à la casse soit plus creuse. S'il faut faire des efforts pour passer le cap (adorable !! et après on croit que tout va recommencer comme avant ! ), c'est au tour de ceux qui en ont les moyens de les faire, les actionnaires qui n'ont pas besoin de tout leur argent pour vivre, contrairement à nous.


    Mais PSA dit que la situation est catastrophique ?


    Même quand ça allait très bien, PSA pleurait déjà. Si c'était catastrophique, est-ce que les actionnaires auraient touché 250 millions d'euros en 2011 ? Est-ce que PSA aurait racheté en 2011 pour 257 millions d'actions Peugeot. (perdues). Rien qu'avec cet argent, il y avait de quoi payer les salaires d'Aulnay pendant 4 ans ! Et quand on voit les salaires que se sont octroyés les dirigeants l'an dernier, on se dit que ce ne sont pas eux qui sont à plaindre. (9000 € par jour pour le PDG). Ce n'est pas aux salariés de payer la note.


    Mais il faut bien ajuster la production à la demande ?


    Oui, mais ce n'est pas aux salariés d'être la variable d'ajustement. Il faut répartir les productions et que les actionnaires soient moins gourmands.
    Que peut faire le gouvernement ? PSA est un Groupe privé !
    A chaque fois, on nous dit cela. Mais ça ne marche que dans un sens ! Les constructeurs automobile depuis des années ont touché des milliards de l'Etat, des milliards d'argent public ! En " aides ", en subventions, en dégrèvement d'impôts, etc. Comment est-ce possible ? Quand il s'agit de donner de l'argent aux patrons privés, ce serait possible et quand il s'agirait d'empêcher les mêmes patrons de licencier, ce ne serait plus possible ? L'Etat a les moyens d'intervenir, bien sûr. Il reste à savoir s'il le veut !


    L'Etat ne devrait-il pas plutôt s'occuper des reclassements ?


    Les reclassements, c'est la tarte à la crème. Aujourd'hui, on ne parle plus de licenciements mais de départs en " congé de reclassement " Ça change quoi ? On fait croire aux gens qu'ils vont retrouver du travail. Une minorité en retrouve, le plus souvent à des salaires très bas. Et les autres restent au chômage ou en intérim. Le ministre n'est pas le ministre des reclassements ! Il n'est pas le ministre de l'accompagnement des licenciements. Il est le ministre du redressement productif. Il s'agit donc de développer l'emploi industriel et au minimum, d'empêcher les suppressions d'emplois et les fermetures d'usines..



    COMMENTAIRE du tract.


    (juillet 2012)

    Tract très intéressant qui montre bien que la CGT a oublié ce qu'est le capitalisme et ce que serait une production pour les besoins des gens. Ou alors elle désire tromper délibérément les salariés. Elle pense, comme le PC l'a toujours fait croire, que le capitalisme est mal géré, et que s'il l'était mieux (dans une logique d'intérêts communs à toutes les classes sociales, en ignorant la concurrence internationale), la production pourrait reprendre comme avant, dans la même perspective de 2 à 3 voitures par famille, en en changeant tous les 3 ans !


    De plus l'argumentaire de la CGT se situe dans le cadre national, ce qui est intenable dans les circonstances actuelles. Cette discussion dans le cadre national est la conséquence des errements du mouvement communiste, qui a abandonné toute perspective internationale, spécialement après la seconde guerre mondiale, et qui a rejailli sur l'ensemble du mouvement syndical qui est devenu chauvin, insensé et sans perspective.


    La plus importante partie de l'argumentaire de la CGT porte sur la négation des surcapacités de production. La CGT confond délibérément une augmentation momentanée de production avec une surcapacité structurelle. Cela prouve que la CGT a perdu pied,et est incapable d'expliquer comment le monde capitaliste fonctionne. Elle est dans un délire en tentant de trouver la solution rationnelle capitaliste, à l'intérieur du capitalisme.
    Cela expliquerait-il pourquoi, en 2011, elle a fait alliance avec le syndicat maison de PSA la CSL devenue SIA pour " préserver " le site… ? vrai ou faux ? Cela paraît incroyable, mais les illusions sur le capitalisme sont telles que l'alliance avec l'ennemie de classe pourrait paraître être la meilleure solution !


    Enfin cet argumentaire tend vers la solution du retour au capitalisme d'Etat qui préserverait l'industrie telle qu'elle est, toutes frontières bien fermées. Ceci n'est pas a priori absurde mais constitue une option à terme guerrière, niant la féroce concurrence internationale, mais également une option contre toute solidarité internationale des travailleurs dans la branche, et qui n'aurait même pas d'avenir concernant les travailleurs français qui n'en tireraient pas les avantages attendus illusoirement.


    La réalité capitaliste vue par Varin PDG de PSA
    : ce dernier déclare au Monde le 18 juillet que le groupe fait 60% de ses ventes en Europe, et que le marché européen s'est rétréci de 25% en 5 ans, passant de 18,4 millions de véhicules en 2007 à 14,2 environ en 2012. Vrai ou faux ?? A Aulnay l'une des deux chaînes a été abandonnée en 2008, et l'équipe de nuit est stoppée deux ans plus tard en 2010. Entre 2004 et 2011 la production est divisée par trois et un seul modèle est assemblée sur place la C3. (Le Monde du 13 juillet)


    Cette chute, dont parle Varin, personne ne l'avait prévue, dit-il. Là il y a de quoi en douter !! Il y a toutes les chances que cette chute soit réelle. La CGT ne peut pas se placer correctement dans un débat pareil. C'est pourquoi, très vraisemblablement, elle ment essentiellement par omission.


    Le marché espagnol, précise Varin, a chuté de 60% en 5 ans et l'italien de 40%...Dans ces circonstances, PSA envisage une collaboration avec General Motors pour faire des économies d'investissement, garde Trnava en Slovaquie (où un ouvrier y est payé 10 euros de l'heure contre 35 à Aulnay selon Varin), prévoit un nouveau modèle à Rennes mais veut laisser Aulnay. Là où Varin ment probablement est quand il dit que le groupe réalisait 29% de ses ventes hors de l'Europe en 2008… ce qui signifierait qu'il ne vendait presque rien en France même, puisque l'essentiel était vendu en Europe (Europe hors France)??
    Peu importe, il est clair que les ouvriers sont, de son point de vue, trop payés en France, et que c'est un élément clef de la situation, pour PSA.


    Enfin, Varin dit que l'aide de l'Etat se monte à 11 millions d'euros pour le chômage partiel, tandis que le crédit d'impôt se monte à 5% du total pour la recherche.
    Depuis quand il y a du chômage partiel à PSA, la CGT n'en dit pas un mot. Chômage partiel pour éviter de faire des pertes en bénéfice et non pas en chiffre d'affaires. L'Etat par son aide dit protéger l'emploi, en réalité il protège les bénéfices de PSA.

    -L'autre site en " difficulté" chez PSA est Sevelnord. " Sous-charge chronique " selon PSA, qui cherche un accord avec Toyota pour tenter de pérenniser le site. A l'origine coentreprise entre FIAT et PSA, mais FIAT se retire fin 2012, d'où chute prévue de la production de 20%. Si l'accord avec Toyota se réalise, le site durerait jusqu'en 2016, et pour produire un véhicule utilitaire K0. Toutefois il faudrait signer pour cela un accord de compétitivité :
    -gel des salaires jusqu'en 2014 ; aucune garantie d'augmentation en 2014.
    -mobilité interne et externe (volontariat)

    Si pas d'accord sur la mobilité : chômage technique, avec 40% en moins de salaires
    Si pas d'accord de compétitivité, le site fermera à terme assez vite.

    Sur les reclassements :
    La notion de reclassement a été avancée par la CFTC puis la CFDT au début des années 60 lors des grandes grèves dans les mines de charbon puis de minerai de fer. Le seul vrai problème transitoirement est " la sauvegarde de l'emploi et du salaire ", où que ce soit. A terme il est " Quelle production et pour quels besoins " que seuls les travailleurs peuvent résoudre. Nationalement ??


    Le ministre du redressement productif a annoncé qu'il était pour relancer la compétitivité…..donc il est pour licencier, baisser les salaires, délocaliser en France même ou en Europe, assouplir les conditions d'embauche, flexibiliser l'emploi ; c'est pourquoi il couvre le chômage partiel en attendant etc etc .


    Mais PSA a annoncé " aucun licenciement sec " ; PSA fera des propositions, probablement inacceptables.


    La question des surcapacités capitalistes, et de la surproduction, c'est-à-dire de la production couverte par le crédit ne peut pas continuer à être ignorée par les salariés et les syndicats. Elle ne peut pas être résolue par " travaillons 4h par jour avec le même salaire " étant donné l'énormité du gaspillage que cette production induit, elle doit être résolue par un autre type de production pour d'autres perspectives de vie où le problème du temps de travail se posera différemment. Aux travailleurs de résoudre ce problème.


    Que peuvent faire les syndicats dans ce cadre- là ?? Au mieux, s'approprier l'usine, mais pour faire quoi ??

     

    La question de l'industrie automobile et de l'emploi dans ce secteur illustre dramatiquement l'absence d'une Internationale des travailleurs.


    Prenons l'exemple de ce qui se passe à Manesar, près de New Delhi en Inde, dans l'usine Maruti Suzuki (Le Monde du 21 juillet 2012): Les ouvriers sont moitié permanents, moitié intérimaires..


    Ils travaillent 8 à 12h par jour, 6 jours par semaine, environ 60 h par semaine (le 19ème siècle en France). Pause d'une demie heure à midi (pas le temps d'aller à la cantine), plus : deux fois 7 minutes et demie dans la journée.
    Les permanents touchent 150 euros de salaire fixe par mois + 120 euros de primes . (270 euros par mois pour 240h, d'où 1,12 euros par heure. Rappel : 10 euros par heure en Slovaquie, 35 en France).
    Les intérimaires touchent la moitié de cette somme (le code du travail est jugé trop rigide). Les syndicats demandent l'intégration des intérimaires comme ouvriers à part entière.
    L'Inde connait 10% d'inflation. Les syndicats sont corrompus.
    Flambée de violence en Juillet 2012 dans cette usine.
    En Inde25 millions de personnes dans le secteur automobile à l'horizon 2016. Plus du quart des ouvriers sont intérimaires.
    Dans ces conditions d'absence de solidarité internationale entre les ouvriers de l'automobile, la concurrence est maîtresse du jeu, dans tous les domaines. C'est elle qui décide quoi produire, où produire, avec qui, à quel salaire… !

    L'URSS de Staline a bien travaillé en déclarant que l'Internationale n'avait plus de raison d'être du fait de la présence du Komintern dans les années 40.


    Seule une internationale des travailleurs (ni communiste, ni socialiste), lancée et relayée dans chaque pays par des comités populaires, pourrait informer les travailleurs du monde de l'état de la surproduction capitaliste, des besoins réels des gens, du gaspillage, des salaires et de la riposte à organiser, et du nécessaire partage d'une production qui devrait être autre, du " comment produire "…etc


    Seule elle serait à même d'empêcher les délocalisations, le dumping entre constructeurs; seule elle pourrait mettre à bas l'abominable concurrence qui se fait sur le dos des travailleurs.
    Seule, elle serait capable, au niveau de toutes les productions, de donner un aperçu de ce qui serait utile aux humains.


    En attendant, car une internationale ne se crée pas en un jour, que faire ??


    -Dire la vérité capitaliste aux travailleurs, chiffres en mains


    -Opposer l'internationalisme des travailleurs à construire à la mondialisation capitaliste. Interpeller le gouvernement dit socialiste à ce sujet.


    -Soutenir mordicus qu'il n'y a pas de solution à la production automobile dans les circonstances actuelles, autre que de type capitaliste contre les travailleurs.


    -Exiger avec d'autres professions le maintien des salaires partout aux frais de l'Etat et des banques (le non remboursement de la dette prend tout son sens).


    -Envoyer un salut fraternel aux ouvriers de Suzuki à Manesar, en leur disant : les plus bas salaires en Europe sont de 10 euros de l'heure : exigez au moins 10 euros !!! Soit 600 euros mensuel pour le salaire principal.

    Août 2012


    Le 7-9-12, PSA est obligé de sortir du CAC 40. Sa capitalisation boursière est devenue insuffisante. ça n'est pas une plaisanterie !