MARX AU 21ème SIECLE ?

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    Notre but:Hypothèses

    ("Y avait-il dans la pensée de Marx une faille par où le mal pût entrer, l'embryon d'une de ces végétations parasites capables de tout dévorer et recouvrir, c'est ce que nous nous sommes demandés bien des fois et nous demandons encore avec anxiété"...

    André Breton, Allocution du 30-4-1949. recueilli dans "Mettre au bans les partis politiques", l'Herne 2007)

     

    Marx nous est-il utile ? Et encore: Y a-t-il lieu de distinguer le communisme réel du communisme imaginé par Marx ?? Mais comme cette question pourrait être jugée comme un procès d'intention, on peut la formuler autrement : Est-ce bien le communisme imaginé par Marx (dont il ne voyait pas très précisément la mise en application) qui a conduit au communisme réel ?

    La réflexion que nous proposons ne relève pas d'un exercice de style purement intellectuel. Dans la perspective qui était celle de Bourdieu, nous voulons tenter sérieusement de nous donner les moyens 1) de voir en quoi non pas un retour mais une relecture de Marx est indispensable aujourd'hui dans une situation où tout est fait pour a) exploiter toujours davantage les travailleurs et restaurer l'armée industrielle de réserve dans ses formes les pires, b) opposer entre eux dans cette perspective les salariés des 27 pays de l'Europe (principal objectif de l'Europe aujourd'hui), c)préserver les intérêts impérialistes de l'Occident dans les pays du Tiers monde par la guerre, la destruction, le pillage, la chasse aux musulmans aujourd'hui et aux "terroristes" (qui cache la chasse aux peuples pauvres) , d) sauvegarder notre genre de vie gaspilleur, e) isoler les différentes parties du salariat, émietter ce dernier, faire surgir des pogroms entre salariés...

    2) Mais en même temps il nous faut absolument savoir a)Pourquoi toutes les révolutions sociales, bifurquant vers le socialisme ou le communisme, ont échoué, sans exception, et pour certaines, ont produit des despotismes ravageurs, des famines et des génocides, b) quelle filiation éventuelle il y eut entre les écrits et les réalités qui ont suivi, ce qui nous entraîne à rejeter comme impropables de dites "déviations", ou de dites "traïtrises", c)pourquoi le communisme, dit réel, a toujours nié la démocratie, entre autres la démocratie à la base, la liberté d'expression, l'organisation libre des citoyens, la séparation des pouvoirs, et a confisqué les soviets en URSS, d) pourquoi la réforme agraire a tourné au désastre au Zimbabwe « socialiste » (ne parlons pas de l'Ethiopie !), e) pourquoi l'Algérie dite « socialiste » a engendré la pénurie, la dictature et les ravages terroristes, f) pourquoi Cuba, pour résister aux USA, a toujours eu besoin de museler la démocratie, g)Pourquoi l'URSS a dévasté l'Afghanistan avant les USA, et torturé ses habitants etc etc

     

    Sur le 1) nous proposons cette relecture dans une série de rubriques où nous considérons que Marx a décrypter mieux qui quiconque la société capitaliste.

    Sur le 2) nous émettons des hypothèses explicatives:

    a)Marx comme le courant Saint Simonien considéré l'industrialisation comme le sommet de la civilisation. Il a cru pouvoir distinguer l'industrialisation du capitalisme pour en faire une conquête au profit du prolétariat: "les acquis positifs" du capitalisme.

    Très logiquement la philosophie de "l'évolutionnisme unilinéaire " allait de pair. Celle-ci considère, à l'inverse des philosophies asiatiques, que l'histoire évolue dans le sens d'un progrès général des civilisations, grâce à la science (c'est le scientisme). Les anthropologues Boas (USA) au 19ème siècle, et Levy Strauss au 20ème siècle, pour ne parler que d'eux, se placeront à contre courant de cette vision des choses. Cette vision des choses est celle du 19ème siècle et caractérise le libéralisme économique.

    De ce point de vue Marx rejettera tous les courants anticapitalistes qui s'opposeront au machinisme, à la libre concurrence, à l'industrialisation :
    -opposition au courant ouvrier anglais " luddiste " (bri des machines) défendu spontanément par le jeune Engels dans " La situation de la classe laborieuse en Angleterre " (1844)
    -rejet des corporations dont les membres ne demandaient que leur réforme et non leur suppression lors de la révolution française en 1789 (voir les cahiers de doléance); corporations dont les principes étaient le refus absolu de la concurrence, et la maîtrise de l'évolution technique par les collectivités de métiers .
    -approbation de la loi Le Chapelier de 1791 en France, qui abolit les corporations, interdit toute coalition d'ouvriers, s'accompagne d'une répression sociale violente (loi martiale) et donne la liberté absolue au chef d'entreprise d'utiliser les techniques comme il l'entend. Marx considère qu'il s'agit là d'une libération positive des forces productives (libre concurrence, productivisme, standardisation, production en grand…)
    -opposition à la petite production (paysannerie, artisanat, petit commerce, c'est-à-dire le peuple…) mise en regard à l'efficacité de la grande production industrielle, dont Marx rêve qu'elle s'applique à l'agriculture.

    -de ce fait, Marx est un centralisateur de la production, ce qui l'entraînera à s'opposer à toute démocratie directe..
    -opposition au protectionnisme qui veut préserver la petite et moyenne production (opposition féroce à l'économiste allemand List qui impulsa le Zollverein allemand, tarif douanier contre l'Angleterre industrialisée, dans les années 1840). Marx s'affirmera " libre échangiste révolutionnaire " en vue de précipiter le mouvement révolutionnaire à l'assaut du capitalisme dans le désordre provoqué par cette libre concurrence.
    -méfiance vis à vis des mouvements paysans militant pour l'appropriation individuelle et collective de la terre : Marx préfère la grande propriété qui ouvre le champ à une gestion par l'Etat, un Etat dont il pense dans un premier temps que les prolétaires pourront se saisir, avant de préconiser sa destruction au profit de l'Etat dit des prolétaires.

    Pour ces raisons Marx ne mettra en avant que l'anticapitalisme du salariat, mais pas celui d'autres couches sociales populaires, en vue de s'approprier l'industrialisation, ce qu'on peut estimer comme étant contradictoire dans les termes.
    Cette préférence nette pour l'industrialisation n'empêche pas Marx de donner en détail tous les éléments de l'exploitation par le Capital, produit de cette industrialisation. D'ailleurs il définira avec soin ce qu'est une production qui crée du capital par opposition à une production qui ne débouche pas sur l'objectif de créer du capital. Cet apport reste magistral dans la perspective des économies rurales des pays du Tiers monde aujourd'hui, et pour une réflexion théorique sur une monnaie non liée au capital..

    b) En raison de ce qui précède, Marx s'opposera à toute " démocratie à la base " et rejettera le courant anarchiste, ce qui deviendra une tradition du mouvement ouvrier marxiste et socialiste. Or le courant anarchiste, avant d'être éradiqué, a été en Russie, de 1917 à 1923, le courant le plus intéressant avec le socialisme révolutionnaire.
    Comme Marx critique en même temps la " démocratie représentative " et ne lui donne qu'un avenir transitoire, il jette sans le vouloir les fondements d'un capitalisme d'Etat dictatorial (dictature du prolétariat, propriété publique) que semble bien avoir été le communisme.
    Bien qu'il adhère à l'idée de la fin de l'Etat, dans une société totalement automatisée pour le bien être commun, dit-il, où les hommes seraient débarrassés de la nécessité de produire…il en justifie la nécessité transitoire (dictature du prolétariat) dans l'attente de cette situation idyllique ("éternelle" se moqueront les anarchistes)
    Et bien qu'il n'ait pas préconisé la création d'un parti des communistes distinct des autres partis ouvriers (cf le Manifeste communiste de 1848, et non pas le Manifeste du parti communiste, comme des éditeurs peu scrupuleux l'écrivent encore), il jette aussi les fondements du parti unique en distinguant arbitrairement, sur le plan théorique, les intérêts des ouvriers de ceux du peuple. Il s'agit là d'une césure totalement artificielle mise en oeuvre par les " révolutionnaires professionnels " (cf Lénine) qui iront de ce fait vers le parti unique.

    c)Par suite Marx pense que l'histoire a un sens déterminé scientifiquement (!), qu'elle progresse, et passe par des étapes, des sociétés inférieures à des sociétés supérieures, jusqu'au communisme. Nous revenons là-dessus par ailleurs. Indiquons seulement que pour cette raison, Marx rejette la paysannerie et l'artisanat dans les limbes de l'histoire. Par là-même, il se pourrait que la xénophobie occidentale ait trouvé un allié de taille.

    Contre les analyses de Marx, il nous apparaît que la paysannerie a été éminemment révolutionnaire dans l'histoire. C'est elle qui fut l'élément décisif des soulèvements en France en 1789, au Mexique en 1910, en Russie en février 1917, en Chine en 1949, à Cuba en 1959... A elle, s'agrégeront les grands mouvements populaires des villes et les premières conquêtes salariales. Jamais par ailleurs, le prolétariat n'agira seul et contre le peuple contrairement à ce que Marx préconisait. Ce sont les porte-paroles autoproclamés de celui-là qui agiront contre le peuple. La Commune de Paris fut dirigée par le peuple tout entier de Paris : prolétaires, salariés divers, boutiquiers, commerçants, artisans, chômeurs, artistes…Ce ne fut pas la dictature du prolétariat, concept inventé par Marx.

    d)En accordant une toute puissance à la technique capitaliste et à la science, Marx n'a accordé aucun intérêt à la nature, et a pensé que l'homme la dominerait entièrement. Cette façon de voir les choses a eu des conséquences dramatiques

    e)Marx dit expressément au début de "Critique de l'économie politique" ( Marx 1859 La Pléiade I) que l'économie politique des valeurs d'usage n'est pas l'objet de son étude, puisque la richesse bourgeoise est la marchandise, et que c'est cela son étude: "La valeur d'usage comme telle est en dehors du domaine d'investigation de l'économie politique" écrit-il. C'est parfaitement exact. Ceci étant, Marx définira le Communisme comme étant le stade supérieur de la société capitaliste passée entre les mains des prolétaires, où la disparition de l'Etat et de la loi de la valeur travail feront partie des nécessités finales de la société....Mais il ne dit jamais que la société communiste mettra à l'ordre du jour l'économie politique des valeurs d'usage, c'est à dire celle des seuls besoins humains. Cela n'était ni l'objet de Marx, ni celui du communisme. Encore moins des épigones et des marxistes. Il y a là un immense champ d'investigation qui est ouvert et que Marx a laissé quasiment vide.

     

    Nous n'apprécions pas non plus l'attitude de Marx dans l'AIT, puisqu'il a préféré la dissoudre que d'y voir les anarchistes prendre un rôle déterminant.Cette hostilité vis à vis des anarchistes sera une constante du mouvement marxiste, sera au cœur de la stratégie des bolchéviks dans la conquête du pouvoir, même si ces derniers devront provisoirement s'allier avec eux dans la guerre civile en Ukraine de 1918 à 1921. C'est Marx qui a impulsé cette stratégie.

     

    Réhabilitation de la valeur-travail.

    Indiquons que de nombreux économistes et sociologues ont prétendu, pendant tout le 20 ème siècle, que ce qui était le plus vieilli, le moins scientifique chez Marx est précisément ce que nous admirons le plus: la loi de la valeur travail !. Il n'y a pourtant pas besoin d'être grand clerc pour voir que toutes les propositions des différents gouvernements Raffarin, Villepin, Sarkozy, de décembre 2004 à 2009, visant à allonger le temps de travail, à diminuer si possible les salaires, à précariser toute une partie du salariat, et à légaliser cette précarité (CPE, CNE et autres...), constituent l'application concrète de la loi de la valeur et de la théorie de l'exploitation, au grand dam de ceux qui voudraient sauver le capitalisme par l'accroissement du pouvoir d'achat… Et nous ne saurions oublier le Ministre et le Président Sarcozy, dont la politique provocatrice de nettoyage des banlieues, de chasse à l'immigration, fait partie du nécessaire renforcement d'une armée industrielle de réserve rejetée vers les "classes dangereuses", pour tenter de soulever une partie du salariat contre les laissés pour compte.

    Notre singularité réside donc dans le fait que nous voulons réhabiliter une partie de l'analyse (entre autres la loi "la valeur travail ») explicative de l'exploitation, tant décriée, y compris par les anarchistes qui n'ont pas hésité à tout rejeter, en même temps que nous revendiquons le droit le plus total à la critique des perspectives émises par Marx.. Aujourd'hui une majorité d'intellectuels se réclamant encore du marxisme rejette la théorie de la valeur, qu'ils n'ont en fait jamais comprise (par exemple les tenants de la revue du MAUSS, Jacques Bidet (Que faire du Capital ? 1985, Klincksiek)   ou H.Denis (L'économie de Marx, histoire d'un échec , 1980, PUF) et tant d'autres. Ils font à notre avis une erreur. Il ne faut en fait ni tout rejeter avec haine, ni tout garder dévotement. Pour défendre le meilleur de Marx, il convient plutôt de tout réexaminer, de faire le tri. Cela insupportera les inconditionnels d'une lecture biblique. Cela insupportera également ceux qui pensent que la théorie marxiste est à rejeter dans les oubliettes de l'histoire. Nous n'en avons cure. Nous voulons faire le travail de réexamen et de deuil, afin d'émerger de près de cent ans d'une sorte d'obscurantisme de la pensée révolutionnaire.

     

    Faut-il s'en prendre à ceux qui ont donné leur vie au communisme ?

    Les milliers d'individus qui se sont saisis de la pensée de Marx, en croyant que cette pensée était homogène à tous égards, en pensant que tous ses aspects étaient logiquement liés entre eux, ces milliers de gens qui ont combattu le capitalisme sous la bannière du marxisme, à une époque où l'on était "obligé" d'analyser cette pensée comme la Vérité scientifique, ces milliers de gens qui ont donné à cette cause le meilleur d'eux-mêmes, se sont-ils trompés, ont-ils eu tort, sont-ils à condamner ? Ils se sont trompés mais surtout ils ont été trompés et on ne saurait leur jeter la pierre car il est très probable qu'on ne pouvait pas facilement et majoritairement, au 19 ème siècle et au 20 ème siècle, faire la critique de l'industrialisation, du fameux « sens de l'histoire », du déterminisme historique ou de l'évolutionnisme déterministe, de l'idée folle de la domination de la nature par la science, de l'idée toute aussi folle d'un prolétariat dominant.

    On n'avait pas encore les moyens d'indiquer fortement que le progrès humain et social  n'est pas lié, loin de là, forcément, aux notions ci-dessus. Des voix éparses, pourtant, dès le 19 ème siècle, ont contesté le « communisme » tel que Marx le prédisait, entre autre les anarchistes russes comme Bakounine, ou bien Proudhon, ou d'autres, qui ont fait des ébauches d'analyses contraires (comme Sismondi, Stuart Mill ...). Mais la puissance de l'analyse de Marx, concernant l'exploitation des ouvriers, a balayé toutes les réserves sur d'autres parties de son œuvre.

    Et surtout sans doutes, le marxisme comme théorie, et l'URSS comme réalisation pratique, ont semblé indiquer à des milliers et des milliers de gens qu'un autre voie était possible que celle proposée par l'Occident. Ce besoin fut si fort qu'on ne saurait s'en prendre à ceux qui y collaborèrent avec tout leur coeur.

    C'est pourquoi nous tenons à réhabiliter Boris Souvarine:

    Boris Souvarine, expulsé du parti bolchévique en 1924 du fait de son extraordinaire lucidité sur le régime qui se constituait sous ses yeux, avait parfaitement analysé à l'époque où pouvait mener l'idée de détenir la " vérité " du point de vue d'une aristocratie politique. Cela donne tous les droits, surtout quand la vérité en question est proclamée comme étant scientifique. La critique de l'URSS a généralement été limitée jusqu'à présent, à gauche, à celle faite par les trotskystes contre les staliniens qui auraient déformé le marxisme, mais pas contre les bolchéviks….dont il était dit, à juste titre, que leur théorie était issue de celle de Marx. La seule critique ouverte contre les bolchéviks a émané des anarchistes russes, du 19ème et du 20ème siècle, et de l'opposition ouvrière en URSS, rapidement démantelée. La critique de la vision du communisme par Marx n'a jamais été, jusqu'à présent, une critique de gauche. Pour ainsi dire, cette critique n'avait pas droit de cité, car c'était une critique dite de la seule droite.

    Il en a été ainsi . Mais nous ne dirons pas, qu'il était nécessaire qu'il en fut ainsi. Contrairement à Marx, nous ne croyons en aucune nécessité historique.

    Tout ceci mérite d'être appronfondi et étudié. La discussion est ouverte.

    Nous ne prenons pas la pensée de Marx comme un bible. Nous prenons ce qui nous semble irréfutable et nous rejetons ou critiquons le reste.

    (Rubrique constituée en 2002, revue en août 2009)

     

    Nous allons proposer plusieurs rubriques mais qui suivent un ordre. Nous conseillons de suivre cet ordre.

    I) Aspect libérateur : Introduction

    II) Aspect dictature:Introduction