La découverte récente de l'implication de Macron dans l'installation
de UBER en France, et sa façon de procéder, éclaire un
peu plus la personnalité de ce dernier, et ses méthodes de gouvernement.
L'entreprise UBER
Grace aux centaines de milliers de documents internes (messages, mails, documents)
livrés par un ancien responsable du lobbying d'UBER, Mark MacGann, devenu
lanceur d'alerte au Guardian, à des journalistes d'investigation, nous
pouvons savoir comment l'entreprise américaine UBER s'est implantée
et a prospéré en Europe et en France et le rôle particulier
qu'y ont joué des hommes politiques, comme Macron quand il était
Ministre de l'économie sous la présidence de HOLLANDE entre 2012
à 2016 .
Plusieurs pages du journal le Monde y sont consacrées depuis le 12 juillet
2022. Les faits, les dates, les courriers, les compte- rendus, les témoignages
sont donc très précis.
Quel était l'enjeu de l'implantation de UBER ? Sous couvert de
permettre à tout un chacun de devenir chauffeur occasionnel au volant
d'une voiture, il s'agissait plus généralement de permettre de
travailler sans statut, sans contrat précis, sans horaires, à
titre individuel, hors salariat
Pour des milliers de petites mains au
profit d'une entreprise UBER , ou d'une autre, qui prenait des commandes de
toutes sortes: transport d'individus d'un lieu à un autre, livraison
de paquets, commandes de repas, réparations... ou tout autre service
de natures très différentes..... Très exactement il s'agissait
de mettre en cause le salariat et ses droits acquis, en faisant croire à
la liberté du travail, et à des possibilités nouvelles
de faire de l'argent.
Les petites mains en question venaient avec leur voiture, leur fourgonnette,
leur moto, leur vélo (!) prendre la commande, l'exécutaient comme
ils l'entendaient et étaient payées au service rendu, par UBER.
Ils n'étaient pas salariés, n'avaient pas de fiche de paye, pas
de couverture sociale, agissaient hors de tout cadre légal, sauf à
devenir "auto-entrepreneur" (!). Il s'agissait de déréguler
complètement le secteur des transports et ce qui restait du code du travail,
en instaurant "la liberté du travail"..
UBER s'installe en France dès 2011. Les protestations sont immenses,
entre autres chez les chauffeurs de taxi. Cela occasionne une loi imprécise,
la loi Thévenoud de 2014 sensée encadrer les conditions pour devenir
chauffeur.
MacGann précise que UBER faisait valoir d 'énormes opportunités
économiques,. Tout dépend pour qui. Pour les entreprises de type
UBER cétait des possibilités de profits immenses, pour les
gouvernements cela pouvait permettre den finir avec des conflits salariaux
avec les syndicats. Par contre pour les «petites mains » ça
n'a pas été le cas : "Il était clair que nous
avions vendu un mensonge à tout le monde". Mais le discours opportuniste
a fait illusion et a "pris". Macron ne s'y est pas trompé.
Les documents en question révèlent donc le rôle personnel
joué par ce dernier dans la protection de l'implantation d'UBER en France:
rendez-vous très fréquents avec le PDG Travis Kalanick, qui est
un personnage très controversé ( scandales de harcèlement,
conflits avec ses actionnaires), mais qui noue des relations "d'amitié"
avec Macron. Celui-ci aurait été fasciné par l'individu
et y aurait vu un « double ». Rencontres une fois par
mois. Macron va suggérer des décrets d'application dune
loi ad hoc. En effet , il est pour les activités de UBER qui, selon lui,
vont créer bp d'emplois. C'est le critère mis en avant. Il salue
en UBER des innovateurs, et se refuse à interdire leurs activités.
Une rencontre confidentielle est préparée le 1-10-2014 avec UBER
pour discuter de la loi qui vient d'être votée et qui a pour but
officiel d'entraver les activités de UBER. Mais le travail en franc tireur
de Macron consiste à "contourner la loi" . En effet Macro affronte
en douce l'hostilité du gouvernement au complet contre UBER (outre les
termes imprécis des décrets d'application, il conseille la DGCCRF
d'être "moins conservatrice" dans ses appréciations,
idem auprès de préfets...) et oeuvre en secret pour le compte
de UBER.
Les révélations de "UBER files" (les multiples écrits
étudiés par les journalistes d'investigation) provoquent la stupeur.
Macron a donc oeuvré en coulisse à Bercy pour défendre
UBER et l'aider dans ses initiatives sans que le gouvernement d'alors le sache
et contre son avis.
Comment est-ce possible ? Macron interrogé sur son comportement en 2022
a vertement réagi en disant qu'il ne reniait en rien ce qu'il avait fait,
et qu'il a eu raison. La preuve: les petites mains existent toujours et ont
une activité
. certes mieux encadrée. Il n'a pas nié,
il n'a pas attaqué en justice les grandes pages du Monde du 12 juillet,
puis du 13, et des 14 et 15 juillet....qui donnent des détails sur la
façon dont les choses se sont passées. On renvoie donc le lecteur
à ces pages où on apprend aussi que les Pays Bas ont été
un allié fiscal de UBER.
La riposte violente de Macron est certes la meilleure défense, mais il
est étonnant que les choses en restent là tant son comportement
avec UBER est révélateur d'un personnage sans scrupule, qui joue
de sa fonction, manie un discours officiel en contradiction avec son activité
réelle, n'est pas gêné de tromper ses collaborateurs, aime
apparemment les situations équivoques et les personnages troubles.
Ses rapports avec Travis Kalanick font penser de suite à ceux qu'il a
entretenus avec Benalla en tant que Président de la République.
Macron n'entretient pas seulement des rapports importants avec les hommes d'argent
et les banques, comme on le dit, mais il aime les personnages qui ont des rapports
limites avec la loi. Il a toutes les caractéristiques du voyou malin
et bien élevé qui se trouve aussi bien en eau trouble que dans
des fonctions de responsabilité. MacGann, le lanceur d'alerte, voyait
en Macron un homme talentueux.
Précisons tout de même que UBER arrivait à point nommé
dans un système économique libéral qui rêvait d'en
finir avec toutes les règles admises du droit du travail. UBER avait
l'avantage de plaire à la fois aux libéraux et à des jeunes
réticents face au salariat, et ignorants de son histoire, qui ont imaginé
faire affaire avec une "liberté totale du travail", voyant
dans les règles en vigueur uniquement un aspect bureaucratique et tatillon.
Naturellement, les premiers moments passés, ils ont vite déchanté,
quand ils ont compris tout l'intérêt d'une couverture sociale,
et qu'ils n'ont pu engranger les sommes d'argent qu'ils espéraient.
ACTUALITE DE LA METHODE UBER
-juin 22 : on manque d'enseignants, Macron propose que les chefs d'établissements
recrutent eux-mêmes des contractuels pour enseigner, après un entretien
de 30 mn.....!
-Au 12 août 22, une expérience vient d'être tentée
de recruter des réservistes (18 à 61 ans) de la police nationale
selon la méthode UBER. Après une formation de 15 jours, ils pourront
tous porter des armes. Il faut 12 mois en théorie pour former un policier.
Les adjoints sont formés en 3 mois
-on étudie la méthode UBER adaptée aux médecins!!!!
on a déjà tenté la télémédecine
Si les objectifs de UBER et tout ce qui y ressemble sont connus , la réalité
sur laquelle il sappuie est piégée. Il y a une couche de
la société gavée didéologie du « tout
marché » qui peut faire avec la méthode, et répudie
le travail, le salariat, se moque des acquis sociaux, ne veut même pas
savoir de quoi il sagit et a une vision du monde purement opportuniste,
cest tout le gain de « la société de consommation ».
Ainsi on voit des centaines de jeunes et moins jeunes refuser les CDI quon
leur propose, dans la restauration par exemple, dans la santé
.
Pour préférer des CDD : sen aller quand on veut, rester
libre, ne pas travailler tout le temps, profiter de lexistence de lassurance
chômage pour prendre des vacances payées, voir ailleurs si cest
plus intéressant
etc (le Monde du 26-19-22). Cest la mentalité
UBER qui napprécie pas les acquis pour ce quils sont mais
pour lutilisation quon peut en faire de façon opportuniste.
Les membres du gouvernement et du patronat ne sy sont pas trompés,
et paradoxalement vis à vis de la mentalité Macron, proposent
de chasser de lassurance chômage tous ceux qui refuseraient un CDI.
Ce dernier était la panacée il y a plusieurs années en
arrière quand le pays ne manquait pas de main doeuvre. Des contractuels
mendiaient des CDI !!
Cest ce quon appelle aujourdhui le refus du travail, et plus
généralement la dévalorisation du travail
.
Quen penser ? Pour une fois donnerait-on un avis favorable à
la position du patronat ?
Cette analyse succinte n'est pas inutile pour tenter de comprendre comment,
quelques années après UBER, Macron a imaginé une politique
sanitaire face au Covid 19. Comment avoir un discours "scientifique"
pour couvrir une opération financière dont il a immédiatement
saisi les contours, ayant une bonne connaissance des labos et de leurs actionnaires,
et des banques qui leur étaient liées.
Il a en effet su utiliser rapidement, avec quelques médecins opportunistes,
la réputation des vaccins d'après guerre, et leurs caractères
d'acquis, pour faire d'un nouveau vaccin conçu à la hâte
("l'urgence sanitaire") l'arme de guerre contre une maladie qui allait
prétendument, grâce à l'OMS, tuer des millions de gens.
Et pour ce faire, il a conçu le rôle d'un Conseil scientifique
"indépendant" à ses côtés pour faire "sa"
politique sanitaire à propos de la crise du Covid.
On ne va dire que quelques mots sur le Conseil Scientifique. Ce dernier
dit scientifique et "indépendant" lié à l'état
d'urgence, doit se dissoudre fin juillet 2022 pour laisser place à un
autre.
Une chose est au moins sûre, l'état d'urgence est levé.
Nous n'avons pas, pour l'analyse qui suit, recours à des journalistes
d'investigation. Nous faisons des hypothèses à propos des articles
et infos lus dans la presse, principalement le Monde.
Ce Conseil constitué le 10 mars 2020 fut composé de 16 médecins
(en majorité) sans envergure, leurs noms sont largement inconnus.
Ils sont tous nommés par le Président de la République
par décret , et non pas désignés par leurs pairs et des
personnes indépendantes. Ils sont donc choisis comme "macronistes",
puis nommés. Contrairement à ce qui a été dit, ce
Conseil n'est donc pas indépendant, il est aux ordres.
Ce Conseil ad hoc semble donc avoir donné l'assurance au départ
que ses membres ne rueraient pas dans les brancards quand ils seraient malmenés
par les médias et les réseaux sociaux ou par le gouvernement lui-même.
Sa garantie de sérieux était le silence !!
On devine pourquoi Raoult, pressenti pour ce Conseil, l'a quitté au bout
de 2 semaines... Des" bénis oui oui " aurait-il dit . Nous
saurons un jour exactement comment les choses se sont passées.
Il s'avère ainsi que au nom des avis du Conseil dit "scientifique
indépendant", Macron fera exactement ce qu'il voudra, sans que le
Conseil ne fasse publier de protestation sur une dite mauvaise application de
ses avis.
Il est écrit dans les nombreux articles, dont celui du Monde du 23-7-22,
que le Conseil était pour le confinement (imité de la Chine),
et le couvre feu en 2020; et que Macron s'était alors exécuté
!. Un Conseil scientifique qui se prononce pour un confinement, c'est possible,
mais pour un "couvre feu", c'est inquiétant. Un "couvre
feu est une mesure politique. Le conseil n'a t-il pas servi de paravent pour
justifier un couvre-feu voulu par le gouvernement ? Cela parait évident.
Quantité d'écrits y voient une dérive despotique et antidémocratique.
On sait que les défenseurs des droits se sont récriés au
nom de la démocratie.
On sait également que le gouvernement Macron réunissait une sorte
de conseil de guerre chaque semaine, dont les débats restaient secrets,
sur la conduite à tenir face à la crise sanitaire. Mais l'état
d'urgence justifiait cela, disait-on . On nous a fait croire que nous étions
dans un danger semblable à la guerre; d'ailleurs le mot guerre a été
prononcé. L'actuelle guerre en Ukraine rend la comparaison grotesque,
tant l'épidémie de covid 19, même grave pour certains, n'a
rien eu d'une guerre. C'est le manque de lits et de personnels, voulu et organisé
par le gouvernement depuis longue date (dans une perspective de privatisation),
qui a rendu la situation catastrophique pendant certains mois. On a fait passer
l'état déplorable dans lequel se trouvaient les hôpitaux,
pour une situation déplorable due à la maladie...
Il y a, entre autres, beaucoup à dire sur la façon dont les morts
du covid ont été décomptés à partir des chiffres
donnés par les hôpitaux et les Ehpad. Ces derniers furent particulièrement
problématiques, et utilisés en vue de noircir le tableau, mais
ça n'est pas notre objet ici. Nous savons qu'il y a eu des morts....
mais pas autant qu'on le dit, dus surtout à l'absence de soins, à
l'intervention trop tardive, à l'état de l'hôpital, à
la comorbidité accélérée par le virus...
A la veille de nommer un nouveau conseil "indépendant" en juillet
2022, aucune évaluation de l'activité du Conseil encore actuel,
n'a été rendue publique sur son expertise sanitaire , ... entre
autre par le Conseil d'Etat.
Le Conseil a-t-il joué ces deux années, 2020 et 2021, le rôle
attendu par le public ? Un article du 14 et 15 juillet du Monde en doute. D'une
part il n'y a jamais eu le point de vue dans ce Conseil des Associations de
patients, pour faire valoir au moins les attentes et les résultats des
"soins". D'autre part il y a eu multiplication des expertises, venues
de toutes parts, de groupes de médecins opposés entre eux, ce
qui a permis au gouvernement de choisir ce qui l'arrangeait le mieux . "Le
gouvernement n'a jamais clarifié à quels degrés il prenait
en compte les avis du conseil". Le gouvernement faisait confiance, à
partir de janvier 21 à des "visiteurs du soir", dit l' article,
qui envoyaient des notes régulièrement. On parle même de
rupture entre Macron et le Conseil scientifique ces derniers mois. Il est demandé
aujourd'hui que tous les avis soient rendus publics.
Qui étaient ces visiteurs ? Macron n'aurait-il pas pris ses avis
essentiellement auprès de Pfizer/MacKinsey, dont on a appris le rôle
fin 2021, et ... Cap Gémini dont on vient d'apprendre le rôle début
juillet 22, y compris dans la politique sanitaire ?
La société Mac Kinsey a agi en faveur des vaccins et les a préconisés
très vite. Le gouvernement en accord avec l'ordre des médecins
"donnait l'ordre" aux médecins de ne donner que du Doliprane
aux malades en attendant le vaccin, et décriait avec une violence extrême,
pas seulement les soins du docteur Raoult, mais ceux de tous les médecins
naturopathes, homéopathes, en recommandant de jeter aux orties..... entre
autres les huiles essentielles..... bien plus nocives apparemment que le covid,
et des médicaments classiques pour lutter contre la grippe, laquelle,
par miracle, avait disparu.....
L'interchangeabilité des membres de Pfizer et de ceux de Mac Kinsey peut
nous convaincre de cette réalité (1).... A noter que Mac Kinsey
a aussi mauvaise réputation que UBER : les deux ont des procédures
judiciaires attachées à leurs basques et reluisent pour leurs
malversations. Qu'à cela ne tienne. (2)
On retiendra encore une fois les relations personnelles et politiques de Macron
avec tout ce beau monde, qui rappellent celles qu'il a entretenues avec Benalla,
qui n'était autre qu'un voyou. On a vite tiré un trait là-dessus.
Pourtant les rapports de Macron /Benalla ont donné le ton immédiat
sur son comportement politique à une époque où son rôle
dans l'introduction de UBER en France n'avait pas encore été établi.
Pour en finir, notons que J F Delfraissy, Président de ce Conseil
fut interviewé sur France Info le 20-7-22.
Il dit en substance que le vaccin actuel "ne protège pas bien, mais
un peu quand même".... car les anticorps monoclonaux dégagés
par le vaccin ne peuvent rien contre les nouveaux variants, explique-t-il, et
voient leur efficacité s'évanouir. Mais ce serait "mieux
que rien" d 'être quand même vacciné. C'est le leitmotiv
de la radio depuis des mois;
Un article explique dans le Monde du 6-7-22.....que cette efficacité
moindre des vaccins est une évolution normale. Question : Pourquoi alors
entretenir l'idée de se faire vacciner dans ces conditions ? Les raisons
économiques reviennent évidemment au galop: faire du chiffre en
matière de vaccins et de tests, et satisfaire les actionnaires des labos..
Pourtant l'éditorial du Monde du 23-7-22 dit que le vaccin protège
contre les formes graves de la maladie. Etonnant en regard à ce qui est
dit précédemment par Delfraissy.
Il n'empêche que le Min de la Santé répète à
longueur d'émissions radios qu'il faut se refaire vacciner, surtout les
gens âgés et les femmes enceintes. C'est un harcèlement
bien pire que de la publicité, car il se prévaut de l'autorité
du Min de la santé.
Delfraissy a dit dans l'interview cité plus haut que nous avons maintenant
des médicaments qu'on n'avait pas auparavent: des antiviraux, l'un par
voie intraveineuse à titre préventif, de faible efficacité
dit l'article nommé, l'autre en cachets (Paxlovid ). Celui-ci serait
très efficace, selon lui, pris dans les 5 jours après les premiers
signes. Delfraissy reproche, tout comme l'article, aux médecins de n'en
faire qu'un usage limité, alors qu'on est paré avec ce médicament
face à une nouvelle déferlante, dit-il.... Qu'en pense les médecins
?? Ils hésitent en raison des effets secondaires....lesquels ne sont
pas nommés ! Les médecins en général ne le préconisent
pas.
Un médecin interrogé par nous dit que la procédure d'utilisation
est compliquée, et que la façon dont il est vanté par les
structures pharmaceutiques pose question, et fait fortement hésiter.
Ce médecin n'est pas étonné par la défiance générale
des médecin vis à vis des anti-viraux.
Finalement Delfraissy parlait au nom de qui ? Dun Conseil "indépendant"
??
......
Le nouveau Conseil comporterait plus de personnalités extérieures,
aurait un rôle de veille, d'anticipations, et de conseil sur la santé
en général !!
Un grand doute se manifeste car rien n'a encore été fait au niveau
des hôpitaux où tout laisse croire que le gouvernement laisse pourrir
la situation et ne veut pas répondre aux demandes maintes fois exprimées
concernant les nominations et les salaires...De nombreux médecins désertent
l'hôpital, aggravant son cas, en allant vers le privé. Le parlement
va-t-il se saisir de cette situation ?
Faut-il attendre une déferlante sociale du type du Sri Lanka (prise dassaut
du parlement) dont on a bp parlé, ou du Panama, dont on a peu parlé,
au mois de juillet ???
Nous ne savons pas aujourd'hui où en sont les poursuites contre Benalla,
contre Mac Kinsey, contre Cap Gémini. Y a-t-il eu plainte contre Macron
sur son rôle occulte en faveur de UBER ??
Silence radio pour l'instant.
AMC 29-7-22
(1)AamirMalik, vice pdt de Pfizer, nouveau directeur à linnovation,
le 21-8-21, était consultant chez Mac Kinsey ;
De même Stephen Hoge, Pdt de Moderna , était partenaire à
Mac Kinsey de juillet 97 à sept 2001
(2) Une commission du sénat a porté plainte contre Mac Kinsey
(Avant que le sénat ne porte plainte nous notions ceci :
Mac Kinsey a obtenu 1600 missions en 5 ans en France
Macron est au cur d'un scandale !
329 millions deuros de chiffre daffaire annuel pour Mc Kinsey et
0 euro dimpôt payé en France depuis 10 ans.
22-2-22)
"Vendredi 25 mars 2022 :plainte du Sénat
En application de larticle 40 du code de procédure pénale, le
Sénat a saisi la justice pour une suspicion de faux témoignage devant
la commission denquête sur linfluence croissante des cabinets
de conseil sur les politiques publiques.
Le 18 janvier 2022,un directeur associé du cabinet McKinsey a déclaré
sous serment devant la commission denquête sénatoriale
: "Je le dis très nettement : nous payons limpôt
sur les sociétés en France et lensemble des salaires
sont dans une société de droit français qui paie ses impôts
en France".
Or, lenquête des sénateurs atteste que le cabinet McKinsey
na pas payé dimpôts sur les sociétés
en France depuis au moins 10 ans. Ces faits ont été étayés
par deux contrôles sur pièces et sur place menés au ministère
de léconomie et des finances.
Les faux témoignages devant une commission denquête, aussi
appelés "parjures", sont passibles de sanctions pénales,
prévues par lordonnance du 17 novembre 1958 sur le fonctionnement
des assemblées parlementaires.
Dans le respect de la séparation des pouvoirs, il appartient désormais
à la justice de statuer sur ce signalement du Sénat."
................
D'après Wikipedia MacKinsey serait un escroc international
(en octobre 22 il sest passé tellement de choses tout lété,
que nous avons oublié tout ce qui précède. La justice interviendra-t-elle
sur ces problèmes de fond ? Il y a peu de chances!)