-Une quarantaine de médecins de lagglomération de Grenoble, dont je dis qu'ils sont corrompus, ont accepté de vendre leurs noms avec la mention « prend de nouveaux patients », pour la plateforme «Doctoome » (découverte le 3-3-24). Médecins logés en majorité à la clinique des Cèdres
-A l'accueil de la clinique des Cèdres, on ne connaît ni cette plateforme, ni les médecins
-cette plateforme a fonctionné jusquaux environs du 13-3, date à laquelle jai constaté sa disparition (après ma plainte au Procureur de la République)
- La responsable de façade était Emilie De Channes <emilie@doctoome.com> de Paris (s'est découverte par imprudence ?... sur internet)
-Evidemment des tas de gens comme moi se sont précipité sur la liste pour obtenir un RV. L'intérêt était les 23 premiers. Demande de faire un dossier. Aucun RV évidemment.. du pipo !
-Cette liste fonctionnait comme un appât pour avoir les coordonnées des patients sans médecin généraliste comme moi, en vue de nous faire donner nos coordonnées pour une société de marketing dont lobjet réel était (je cite d'après la lecture sur internet) :
« ...de vous accompagner dans votre parcours de soins et de vous demander certaines informations pour vous offrir divers services, tout au long de votre vie ;
.
Nous référençons tous les jours de nouveaux professionnels et vous indiquons comment prendre rendez-vous selon leurs préférences, afin de vous proposer tout ce qui existe autour de vous.
Trouvez votre produit santé en temps réel, sur votre lieu de résidence, en vacances ou en déplacement professionnel. Recherchez et réservez un médicament, un traitement non médicamenteux ou dispositif médical dans la pharmacie la plus proche et recevez une alerte en cas de rupture de stock. »
-«Médecins corrompus ». En effet il est impossible que des
médecins aient donné leur nom (sans le savoir !!!) pour une fausse
annonce sans en tirer un avantage. Quel avantage ? Toute la question est là.
Derrière cette annonce en trompe-loeil, il y a forcément une instance à laquelle les médecins sont habitués : un laboratoire qui promet des avantages : produits de beauté, séjours touristiques, voyages etc. Cest une partie de lobjet d'une enquête si le Procureur se décide à la faire.
-J'ignore si la sécurité sociale soutiendra cette enquête...
-Lidée de faire de largent par de vaines promesses, en profitant dune situation de santé gravissime est plus quindigne ; cest une imposture.
-Emilie de Channes de « doctoome », interrogée, se garde bien de répondre autre chose que « je ne comprends pas ce que vous dites ». Elle a simplement fait disparaître dinternet la liste que j'ai soigneusement relevée et communiquée.
Plainte au Procureur de la République communiquée à la
Municipalité d'Echirolles le 4-3.
AMC le 17-3-24
Après le mouvement des agriculteurs, Attal a accepté de reculer sur l'utilisation des pesticides à usage des semences qui font partie de ceux qui tuent les abeilles, les insectes, les oiseaux, comme le demandait le voyou qui dirige auopurd'hui le FNSEA.
Il convient donc de l'obliger à manger cet insecticide à tous les repas
De quoi sagit-il ?
Limidaclopride est un insecticide qui fait partie de la famille des néonicotinoïdes.
Le terme néonicotinoïdes désigne une classe dinsecticide
qui agit sur le système nerveux des insectes en agissant de manière
négative sur les récepteurs nicotiniques de lacétylcholine
(neurotransmetteur jouant un rôle crucial dans le système nerveux,
notamment dans la mémoire, lapprentissage ou encore lactivité
musculaire). Limidaclopride a donc un mode daction qui diffère
de celui des autres insecticides les plus courants. En effet, il se fixe sur
le récepteur nicotinique et stoppe la transmission de linflux nerveux.
Il a donc un effet sur les nerfs et sur les muscles.
Quelles sont les utilisations de limidaclopride ?
Il est important de rappeler que limidaclopride est un insecticide dit
« systémique ». Cela signifie quil sinsinue dans
la sève des plantes, et se répand dans toutes ses parties. Ainsi,
il possède deux modes de pénétration sur les insectes :
soit par contact, soit par ingestion.
Limidaclopride entre dans la composition de plusieurs substances. Comme par exemple dans le Gaucho qui sert à traiter les céréales, ou le Confidor utilisé pour traiter les arbres fruitiers, ou encore le Provado, utilisé principalement dans les jardins. Limidaclopride est donc très souvent employé dans le traitement des semences, de par son effet puissant contre les insectes piqueurs-suceurs (comme par exemple les tiques, les pucerons ou encore les cicadelles).
Mais limidaclopride peut également être utilisé pour lutter contre les puces et les tiques chez les animaux de compagnie (chiens, chats et furets).
Quels sont ses effets indésirables ?
Dans le cas dune utilisation sur les animaux pour le traitement des puces
et des tiques, limidaclopride peut provoquer des irritations de la peau,
des voies respiratoires ou des yeux des animaux.
Cet insecticide est reconnu comme étant très toxique pour les organismes aquatiques (notamment les algues). Il est également considéré comme dangereux pour lenvironnement. Un des problèmes majeurs de limidaclopride est son effet destructeur sur les insectes pollinisateurs. Cest le cas entre autres des abeilles, qui sont en règle générale très sensibles aux néonicotinoïdes, et donc à limidaclopride.
Quelle est la réglementation en vigueur pour limidaclopride ?
Pour lutter contre ces effets néfastes, son utilisation est réglementée
par lUnion Européenne. Cest pourquoi il est interdit de dutiliser
limidaclopride pendant la floraison des plantes. De même, pour la
France il est actuellement interdit davoir recours à de limidaclopride
dans le traitement des semences de maïs et de tournesol.
Comme tous les autres néonicotinoïdes, les données sont régulièrement mises à jour afin de mesurer les effets réels de tels produits. Cest pourquoi la réglementation peut varier selon les années. Quoi quil en soit, limidaclopride reste un produit dangereux à utiliser avec précaution.
Octobre 23
septembre 23
Fabriquons des gros à tout de bras avec de la mauvaise bouffe, qui passent des heures avec un smartphone sans bouger... Voilà un marché extraordinaire pour les labos, entre autres un labo US dit Lilly qui va s'installer en France dans le Bas Rhin, pour fabriquer des médicaments et trouver un vaccin !
Exactement comme les boissons sucrés, et la nourriture trop grasse ont déjà permis de vendre des tonnes de médicaments contre le diabète
Exactement comme la faible mobilité des individus, les herbicides, les pesticides nourrissent les cancers... qui nourrissent les labos...
Génial non ? Mais insupportable.
le 26-10-23
On connait maintenant l'impact des pesticides et herbicides sur les insectes, les oiseaux et quantités des petits et gros animaux. Disparition en quantité.
Disparition progresive des abeilles et des insesctes polinisateurs. Les conséquences sur les fruits et légumes, sur le miel sont connus. Mais l'agroalimentaire règne sans partage et n'a que faire des rares directives gouvernementales pour stopper sa nocivité.
Les Ministères de l'agriculture dans des Etats dans les Etats et imposent la mort à la faune et la flore, en espérant faire vivre leurs progénitures dans des bunkers... ou s'étant eux-mêmes formatés pour ne pas croire à un empoisonnement généralisé.
Enquête dans la Vienne, mais 34% des français peuvent recevoir une eau non conforme. Presque tous les captages seraient contaminés. L'ANSES prévient de la dangerosité de ce poison mais.... sur l'insistance de SYNGENTA va bien trouver la solution en élevant le seuil de conformité. Et le tour sera joué.
Vive l'ANSES !
BAYER, SYGENTA, entre autres ont obtenu des autorisations pour vendre des produits nocifs. L'Agence européenne de sécurité des aliments (EFSA) a marché dans les mensonges, la Commission européenne de même, en ignorants. Des chimistes suédois ont alerté. ON en est au stade des polémiques, comme d'habitude. C'est potentiellement explosif, mais en attendant les effets sur l'intellect seraient très graves.
Atteintes sur le foie...
On en est au stade de la discorde. Les experts chargé du dossier sont-ils libres ?
Fevrier 23
Officiellement il est dit que la crise sanitaire a dégradé la situation de la santé mentale, avec une explosion des états dépressifs, des troubles du sommeil et des pensées suicidaires !
Mais ça n'est pas la dite crise sanitaire qui a fait cela, mais bien le "confinement" qui a été une catastrophe, a attisé les conflits familiaux, a interrompu la scolarité, les études, le travail, a provoqué des brisures entre parents et enfants, et dans les couples, dans une situation d'interdits de randonnées, de ski, de voyages, de visites aux amis et aux parents.
On ne dira jamais assez à quel point le confinement imité de la Chine, en vue de contrôler les gens et de les soumettre, a été néfaste à tous égards et sans avantage médical.
La consommation de psychotropes a considérablement augmenté, de même que la drogue, et les maladies comme le cancer et les maladies cardiovasculaires ont pris une grande ampleur par manque de mouvements, de sport, de marches.... Tout cela était parfaitement su mais le gouvernement a cédé aux sirènes de la tentation du contrôle des citoyens, ce qui a eu les effets les plus nocifs.
Le coût des maladies aurait augmenté de 3 à 4 % dans le PIB des pays occidentaux.
sept 23
Les virus causent des maladies les plus souvent saisonnnières.
Avec le changement climatique, aidé par l'industrialisation de l'élevage (contre nature...), la baisse de l'immunité due aux pesticides, les décès dus au virus peuvent s'accroître, mais les maladies non transmissibles causent les 3/4 des décès (le Monde du 23-9-22), donc seulement 1/4 des décès sont dus aux bactéries, et aux virus.
Les pouvoirs publics tentent d'affoler les citoyens contre les virus parce que le marché des masques, et des vaccins contre les virus a besoin de clients .
LMes maladies non transmissibles, à savoir les maladies cardiovasculaires, les cancers, les maladies respiratoires chroniques, le diabète. Le financement national et international pour lutter contre ces maladies est notoirement insuffisant, sauf s'il s'agit d'aider les labos à trouver un vaccin ou un médicament innovant très cher et réservé aux plus riches.
Prévenir ces maladies en éliminant le tabac, la malbouffe, l'alccol, la sédentarité, la pollution atmosphérique, coûte de l'argent et n'en rapporte pas.
Le COVID a contribué à occulter ces maladies et la prévention. "la pandémie a aggravé l'exposition aux facteurs de risque de maladies nons transmissibles..... comme le confinement....l'insécurité économique .... empêchement à un accès à une nouriture saine"
Les méfaits du confinement ont été cachés puisqu'on en a fait un outil de lutte contre le virus !
L'eau du robinet est régulièrement suspectée de n'être plus potable (septembre 2022).
L'eau potable est non conforme pour 20% des français. Cela a été dit et écrit
Est suspecté un fongicide D-diméthylsulfamide. Interdit en Europe. Mais..... Comment fait-on pour rendre l'eau plu potable ? Tout simplement en manipulant le taux d'acceptabilité du fongicide dans l'eau. (les seuils de qualité ...!). Censure et autocensure de l'administration
La direction générale de la santé (DGS) est parfaitement au courant. Allez tenter de l'interviewer ! C'est pourtant un service public au service des citoyens
Là où les problèmes se posent, "on" dit que le traitement des pommiers est mis en cause, mais pas seulement..
Quand la lavande est atteinte dans le sud, et qui'l n'y a plus de poissons dans les rivières, plus d'orties... on sait que le fongicide a été répandu quelque part...
Herbicide fabriqué par SYNGENTA.... on lui laisse des délais de grâce alors qu'on sait que ce produit se retrouve dans les nappes phréatiques. Utilisé pour le soja, le maïs, le tournesol, le sorgho, ... Cancérigène suspecté ! De longue date !! Malgré un rapport de 2004 transmis par la CEE la surveillance n'a commencé en France qu'en 2013.
Harcèlement des gens pour se faire vacciner contre le COVID ... mais liberté à SYNGENTA pour nous empoisonner. C'est cela qu'il faut dire .
Les cathéters de thrombo-aspiration, équipement de pointe, essentiel pour trainter en urgence un patient victime d'un AVC (1500 euros par kit) ne sera plus pris en charge par la Sécurité sociale; ils seront à la charge des hôpitaux, c'est à dire des ...malades. .
L'AVC, première cause de mortalité chez les femmes, et 3ème chez les hommes (on aurait pensé le contraire).
Ainsi vient d'en décider le Ministre de la santé et de la sécurité sociale, François Braun, en mars 2023, conseillé par la HAS (haute autorité de la santé). La HAS est un collège de 7 membres (et 8 commissions) nommés par décret, le Président est nommé par Le Pdt de la République.
Ses tâches:
-évaluer les médicaments (c'est donc la HAS qui intervient pour faire la guerre à l'homéopathie)
-faire des recommandations
-mesurer et améliorer la qualité des hôpitaux, cliniques et médecine de ville (depuis 2019 il y a tout lieu d'applaudire de se féliciter sur la qualité des hôpitaux)
La HAS avait pourtant conseillé en 2018 d'étendre le recours à cet équipement de pointe.
Ces cathéters seront remplacés par des "stents retriever", de moindre qualité mais plus chers pour la sécurité sociale (2200 euros).
Gestion médicale et financière incompréhensible !
(Info du Monde du 7 mars 2023)
le 19-3-23
15-3-2023
Eléments de définition et de compréhension relevés sur divers sites officiels
"Créée le 1er juillet 2010, l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses), instance scientifique indépendante, exerce des missions d'évaluation des risques, de référence et de recherche dans les domaines de la santé humaine, animale et végétale.
L'Anses compte cinq comités thématiques : santé-environnement, santé au travail, alimentation, santé et bien-être animal, santé végétale.
Ne pas confondre avec l'Ansm, l'Agence nationale de sécurité
du médicament et des produits de santé
Ne pas confondre avec l'Afssa, l'Agence française de sécurité
sanitaire des aliments
LAgence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail, (Acronyme Anses ), est un établissement public français. Elle a pour mission principale d'évaluer les risques sanitaires dans les domaines de l'alimentation, de l'environnement et du travail, en vue déclairer la décision publique. L'Anses est placée sous la tutelle des ministères de la Santé, de l'Agriculture, de l'Environnement, du Travail et de la Consommation.
Le directeur général de l'Anses est nommé en Conseil des ministres après audition par les Commissions des affaires sociales du Parlement. Son mandat est de trois ans renouvelable. Le directeur général en fonction est Roger Genet.
Cette Agence sappuie sur un réseau de 11 laboratoires de référence
et de recherche, répartis sur lensemble
du territoire et reconnus au niveau international dans plusieurs domaines ou
disciplines. Elle compte près de 1350 agents et mobilise environ 800
experts extérieurs via ses collectifs dexperts.
Par ailleurs, lAnses travaille en partenariat avec de nombreux organismes
extérieurs, avec lesquels elle peut conclure des conventions : agences
sanitaires, autres agences et organismes exerçant des missions complémentaires,
grandes institutions de recherche et laboratoires publics nationaux ou internationaux
Ouverte sur la société civile, lAgence travaille également
en lien étroit avec les parties prenantes, qui siègent dailleurs
à son conseil dadministration. Il sagit en loccurrence
des représentants de lÉtat, des acteurs du monde associatif,
professionnel et syndical, et des élus. Ceux-ci sont notamment associés
à la définition du programme de travail de lAnses et peuvent
la saisir de sujets qui les préoccupent. Plus largement, lAgence
rend systématiquement publics ses travaux, sur son site Internet, mais
aussi, par lorganisation, ou la participation, à des événements
scientifiques.
Recrutement :
Décret n°2003-224 du 7 mars 2003 fixant les règles applicables
aux personnels contractuels de droit public recrutés par certains
établissements publics intervenant dans le domaine de la santé
publique ou de la sécurité sanitaire.
Ce sont des contractuels recrutés à durée déterminée.
Les différents types de collectifs dexperts de lAnses
Pour toute évaluation de risque sanitaire, lAnses met en uvre
le même processus dexpertise collective qui repose sur des collectifs
dexperts :
des comités dexperts spécialisés (CES) dont
le champ de compétence est défini par lAnses et validé
par le conseil dadministration après avis du conseil scientifique
;
des groupes de travail ad hoc (GT) en appui des CES, mis en
place pour des thématiques spécifiques ;
des groupes dexpertise collective durgence (GECU).
LAnses assure la coordination scientifique et administrative de ces collectifs.
Le Conseil scientifique (de l'Agence) est indépendant, est composé
exclusivement de scientifiques, et donne une large place à des scientifiques
étrangers. Il est garant de la qualité scientifique de l'expertise
et de son indépendance.
Il comprend :
Deux membres de droit :
le président du conseil scientifique de l'Agence nationale de
sécurité du médicament et des produits de santé
(ANSM), Mme Annick ALPEROVITCH, représentée par M. le professeur
Robert BAROUKI, professeur des universités, directeur dunité
à lInstitut national de la santé et de la recherche médicale
(lettre du 21 décembre 2015) ;
le président du conseil scientifique de l'Agence nationale de
santé publique, ou son représentant.
Vingt-quatre personnalités scientifiques compétentes, nommées
(pour 3 ans) par arrêté du 23 décembre 2019 (par) des ministres
chargés de l'agriculture, de la consommation, de l'environnement,
de la recherche, de la santé et du travail, sur proposition du directeur
général (nommé par le conseil des ministres rappelons
le)
Un groupe de chercheurs accuse depuis 2017 l'ANSES de ne pas tenir compte des risques présentés par les produits à base de sulfowaflor (idem que les néonicotinoîdes) et de glyphosate.
L'agence a perdu toute crédibilité face à l'effondrement de la biodiversité en France. Les expertises indépendantes restent lettre morte. L'ANSES est une agence au sercice des directives ministérielles.
Il y a à l'évidence incompatibilité entre la santé, l'agriculture industrielle, l'économie et la transition écologique. (voir l'article de Stephane Mandard),
le 15-10-22
(documents officiels de présentation)
Analyse du dossier dAMM dun médicament
Qualité : Origine et nature des matières premières, procédés
de synthèses et de fabrication, impuretés, stérilité,
stabilité du produit fini, sécurité virale des produits
biologiques etc
Efficacité : Basée sur les résultats des essais cliniques
(évaluation du rapport bénéfice/risque)
Sécurité : Données expérimentales (pre-cliniques:
génotoxicité, carcinogénicité, reprotoxicité
etc
) et données cliniques (effets indésirables)
16-10-22
Références
(1) https://odysee.com/@MagazineNexus:b/EffetsSecondairesLaFaceCacheeDesVaccins:d
(2) https://www.passeportsante.net/fr/parties-corps/Fiche.aspx?doc=nerf-facial
(3) https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/guillain-barr%C3%A9-syndrome
(4) https://www.msdmanuals.com/fr/accueil/probl%C3%A8mes-de-sant%C3%A9-infantiles/maladies-du-tissu-conjonctif-chez-l%E2%80%99enfant/syndrome-de-marfan
(5) https://www3.unifr.ch/apps/med/elearning/fr/bindegewebe/downloads/bg_print_f.pdf
(6) https://www.ameli.fr/assure/sante/urgence/pathologies/oedeme-quincke
(7) https://www.nexus.fr/wp-content/uploads/2022/02/Vaccine-expertise-GCP-CCotton-2022-01-11-French2-copyright_comp.pdf
(8) https://www.publicsenat.fr/article/parlementaire/effets-indesirables-de-la-vaccination-contre-le-covid-19-les-chiffres-de-l
(9) https://www.lanouvellerepublique.fr/tours/tours-l-equipe-qui-traque-les-effets-indesirables-du-vaccin-a-fait-six-annees-en-une
(10) https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/haute-garonne/toulouse/toulouse-le-centre-de-pharmacovigilance-sous-tension-depuis-le-debut-de-la-vaccination-contre-le-covid-2120845.html
(11) https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/coronavirus-covid-19-myocardite-disent-chiffres-87573/
(12) https://seenthis.net/messages/938566
(13) https://www.vidal.fr/actualites/28433-vaccins-arn-m-et-troubles-menstruels-les-donnees-de-pharmacovigilance-francaises.html
(14) https://www.europe1.fr/medias-tele/droits-voisins-un-accord-historique-trouve-entre-google-et-lagence-france-presse-4077725
(15) https://www.niemanlab.org/2021/01/google-is-giving-3-million-to-news-orgs-to-fact-check-vaccine-misinformation/
(16) https://bourse.lefigaro.fr/indices-actions/actu-conseils/google-et-sanofi-creent-une-joint-venture-specialisee-dans-le-diabete-5716437
(17) https://www.lesechos.fr/2015/01/sequencage-de-ladn-pfizer-sassocie-a-une-filiale-de-google-241495
(18) https://www.lesechos.fr/2016/08/la-medecine-bioelectronique-le-pari-de-google-et-gsk-211657
(19) https://www.lactucitoyenne.fr/actualites/sante/big-pharma-on-a-eu-acces-a-des-contrats-biffes-cette-deputee-europeenne-denonce-l-opacite-des-labos-sur-les-contrats
(20) https://www.europe1.fr/sante/vaccins-plus-de-1000-dollars-de-profits-par-seconde-pour-pfizer-biontech-et-moderna-4077263
Les 3/4 des décès dans le monde sont dus aux maladies non transmissibles : cancers, maladies cardio-vasculaires, maladies respiratoires chroniques, diabète, mortalité maternelle et périnatale, mauvaise nutrition, traumatismes
les causes : le tabac, la malbouffe, consommation excessive dalcool, sédentarité, pollution atmosphérique
prévention très faible.
Financement national et international minime pour ces maladies, qui sont toutes
évitables et gérables.
Financement laissé en grande partie à la charité publique
La pandémie de Covid 19 a occulté limpact de ces maladies
les confinements ont aggravé les causes des maladies non transmissibles,
et linsécurité économique a accru les difficultés
à une nourriture saine.
Discussion :
Doù un quart seulement des décès est dû à
des maladies provenant de bactéries et virus. Or les gouvernements privilégient
leur aide aux labos privés en leur versant de largent pour trouver
des vaccins ; lesquels sont mis en circulation avant la certification par
les Agences de santé, lesquelles sont étroitement liées
aux pouvoirs en place et aux labos.
La santé publique dans tout cela ?
Ces vaccins génèrent des profits comptabilisés en milliards de dollars.
AMC 1-10-22Le Monde du 19 mai 22
22-5-22
Au nom du covid, pour "protéger" les populations; les gouvernements maintiennent plus que jamais la pression pour limiter le nombre des réfugiés, de migrants, et de toutes les populations qui fuient la misère, la peur, le despotisme.... Ces gens de toutes sortes se retrouvent parqués dans des camps aux frontières de l'Europe, peu secourus en mer, rejetés dans le désert par le gouvernement lybien, une situation pire que jamais....
Sous prétexte de Covid 19, depuis deux mois, dans la plus grande ville de Chine, 26,8 millions d'habitants, haut lieu de la contestation, la population est confinée dans les pires conditions, dans des dortoirs toujours éclairés (comme dans les prisons de haute sécurité), sans conditions d'hygiène, avec séparation des enfants, même des bébés, avec une nourriture approximative...
L'opération 0 covid serait insuffisante, car au 18-4-22, la radio annonçait 3 morts du covid, atteints de comorbidité par ailleurs (!!!).
Les habitants tentent de fuir avec les plus grandes difficultés.
En pleine guerre de la Russie contre l'Ukraine, il s'agit évidemment d'éteindre toute contestation, par le biais du mensonge Covid. Le virus a toutes sortes d'usages !
le 19-4-22
(10 nov 2021)
Le 2-11-21 dans la Voix du Nord, la pactole attribué au vaccin au profit de Pfizer se monte à 36 Milliards de dollars.
N'oubliez jamais ce chiffre !
Les contrats passés entre les labos pharmaceutiques et les Etats européens (qui ne se sont pas battus pour en finir avec les brevets sur le vaccin) sont tenus secrets. Trois viennent d'être publiés récemment, grâce à "L'Humanité" (17-2-2021), sauf sur les engagements financiers. Ce qui est rendu public indique que les ETATS SONT SEULS RESPONSABLES DES EFFETS SECONDAIRES.
Le 9-11-21, le Monde révèle que l'un des nombreux sous-traitants de Pfizer, Ventavia, a menti sur la façon dont les tests se sont passés pour le vaccin. Les tests dont la société était responsable, ont été faits à toute allure contre la qualité et la sécurité... c'est tout dire.
Et les autres sous-traitants ? Google est programmé pour qu'on ne trouve pas les nombreux sous-traitants de Pfizer.
Des médecins publient un article dalarme le 5-11 dans le Monde concernant lAVC : 1/3 des lits on été supprimés dans les unités de soins pour les malades ayant fait un AVC : 50 % des postes dinfirmiers ne sont pas pourvus. Conditions de travail dégradées depuis des années sans aucune réaction des pvrs publics, aggravées avec le Covid (réquisition des lits dans un état de saturation, déjà avant la pandémie).
Mise en danger des malades aujourdhui
Dans les soins intensifs la situation est critique
...
Par ailleurs, 5600 lits supprimés en France en 2021 (source officielle),
plus de 2000 en 2020 en pleine pandémie. Chiffres officiels
De quoi meurt-t-on en France chaque année ?
-Grippe saisonnière : 8000 à 10000
-Cancer :157400 en 2018.
-AVC : 40 000 morts sur 150 000 cas annuels
-Pneumonies : 16 000 décès annuels
-Maladies cardiovasculaires : 140 000 personnes chaque année
-Le diabète : 34 000 morts
-Pollution : 40 000 morts précoces annuelles en 2016,
Par ailleurs : Morts dans les Ehpad en 2015 : 150 000 personnes anuelles
soit environ 400 par jour
.
-Covid : il a été annoncé 80 000 morts en Janvier 2021, sans aucune vérification possible en raison des confusions avec dautres maladies, du fait dabsence de soins à de nombreux malades pendant la pandémie.
Le gouvernement (avec lOMS) dit aujourd'hui « retour à la pandémie », mais ne ré-ouvre pas de lits, naméliore pas les conditions de travail des soignants, pour pouvoir recruter, en fait ne cherche pas à recruter.
Tous disent : Il faut se vacciner, il faut se vacciner
.Leitmotif, on
a compris ! Mais rien nest fait dans les pays du Tiers monde, les
BREVETS SONT PRESERVES ; Vaste affaire de fric !
..
Une blague circule :
-Docteur ! Vous avez une idée de la fin de cette pandémie ?
-Je ne peux vous répondre car je nai jamais rien compris à la politique !
Eradiquer les virus et le covid ? Au mieux on peut en limiter les effets. En outre les virus ont leurs lois propres; ils vont et viennent pour des raisons que nous ne maîtrisons pas. Mais il est sûr que nos modes de vie leur permettent de s'installer et de multiplier leurs effets nocifs. Par exemple les élevages industriels qui fragilisent les animaux et volatils, rapprochent les animaux sauvages et animaux domestiques parce que les habitats des premiers ont été détruits.
Nos modes de vie qui provilégient la télé et la malbouffe, les produits nocifs comme les pesticides, fragilisent notre immunité et notre système respiratoire. Les virus y sont les bienvenus.
Nos scientifiques croyaient éradiquer les virus, comme la polio. Eh bien non. Plus difficile que prévu. Le virus dormant s'est réveillé (le Monde du 13-1-21). La science ne sauvera pas le monde. La science capitaliste, de l'argent, de la suffisance joue à l'inverse d'une science conforme aux besoins humains, la sagesse, au doute cher à la réflexion.
Les vaccins ne font pas tout, surtout s'ils viennent du cerveau de labos corrompus et criminels comme Pfizer.
Ces labos sont parfois comiques et croient qu'on ne les voit pas.
En même temps les labos et les gouvernements européens annoncent 1) qu'il faudrait une dose de vaccin supplémentaire, donc une troisième dose, pour relancer son efficacité ! et 2)qu'il faut augmenter les prix des doses, de 15,50 euros à 19,50 la dose, car la deuxième génération de vaccin coûte plus cher....
Ah quelle belle affaire que ce vaccin, évidemment quasiment inacessible aux pays du Tiers monde ! Un vaccin pour les riches ! Vive la sécurité sociale !
le 5-9-21
Le pass est totalement illégal. On ne va pas développer ici, d'autres le font très bien.
Totalement illégal de vouloir faire contrôler ce pass par des gens qui n'ont pas qualité à le faire.
Au premier dégré il s'agit de nous diviser, et de faire des non vaccinés des parias, et de leur mettre sur le dos la continuation de l'épidémie... Une 3ème et une 4ème vague seraient de bon aloi pour continuer à décerveler les gens.
Au second degré la pass sanitaire pourrait constituer un pas de plus vers une carte d"identité totalement électronique qui permettrait, mieux qu'un puce, car avec un argumentaire "sanitaire", de contrôler totalement la population.
En juillet 2021 Snowden de la Russie, mettait en garde, face au journaliste Pegg du Guardian, contre le projet Pégasus dont les visées étaient le contrôle absolu des citoyens. Brave Covid !! Arrivé à point nommé pour produire une gestion mensongère d'une maladie qui tue toutes les personnes fragiles, atteintes des voies respiratoires en le sachant ou ne le sachant pas, grâce à ce que nous respirons tous les jours ! Ah ! quelle géniale maladie qui sert à faire reculer, mieux que la police ou les votes au parlement, tous les acquis démocratiques....
..........
Les bruits les plus contradictoires circulent sur le variant delta: un jour il envahit les médias car il présenterait une gravité considérable; un autre jour les contaminations qui restent fortes ne provoquent pas de risques consiérables, les cas positifs n'étant pas graves, et le lendemain le contraire, les hôpitaux sont pris d'assaut... etc Les ministres se contredisent entre eux. Cela devient la conversation de haut niveau la plus importante qui soit !
Les salariés étant en contact avec les gens sont obligés d'avoir le pass donc de se vacciner, cela en concernerait 2 millions, mais ça ne concerne pas les enseignants, les enfants scolarisés, la police.... cela devrait concerner la gendarmerie, les pompiers, mais pas les citoyens qui vont dans les grandes surfaces et les transports, sauf le TGV.... Le pass est exigible sur la terrasse d'un bistrot si on s'assied, mais pas si on entre dans le bistrot pour acheter une bière et la boire assis sur le trottoir!!!!!! et tout à l'avenant !
Tout est complètement absurde et n'a aucun sens du point de vue sanitaire, il s'agit seulement de nous pourrir la vie.
On nous annonce qu'il manque partout de la main d'oeuvre alors qu'il y a du chômage; mais il faut embaucher des vigiles pour contrôler toutes les issues des hôpitaux, au moins 40 par hôpital; cependant il est exclu de pouvoir embaucher du personnel soignant et des infirmières ! A vrai dire ce personnel est en train de démissionner...
Bientôt les hôpitaux excluront la possibilité que les gens malades puissent y entrer...
On entend dire que le confinement nous tirés d'affaire, mais il semble qu'à la différence des chinois, on n'a jamais été confinés sérieusement, puisqu'on pouvait aller de l'enfermement chez soi à Carrefour ou intermarché, et dans le tram, ou le car, ou les trains (non TGV). Dans un confinement sérieux, on ne sort pas de chez soi; des camions apportent à manger aux gens en bas de leur immeuble comme en Chine. Vous appelez ce qu'on a vécu un "confinement" ?? Il nous manque des définitions.
Le "confinement subi" avait probablement un autre but que la santé des gens: le décervelage, oui il faut dire le mot, c'est ça qui était peut-être visé ?!
"Cette molécule, commercialisée en France sous les noms Mectizan, Stromectol ou encore Ivomec, est très largement promue sur les réseaux sociaux: elle constituerait une sorte de remède miracle, disponible et peu onéreux pour traiter le covid."
"Lundi 2 août, le Jérusalem Post s'est fait l'écho d'une étude, menée par un scientifique israélien, qui tend à prouver que le médicament pourrait réduire considérablement la transmission du coronavirus. Il a mené un essai randomisé en double aveugle sur 89 volontaires, qui tend à prouver que les patients sous ivermectine sont beaucoup moins contagieux, et ce plus rapidement."
Les autorités sanitaires OMS, US déconseillent l'Ivermectine, idem en Europe.
Mais il se trouve que les autorités médicales indiennes se sont saisies de ce médicament qui aurait permis de faire reculer la maladie très rapidement.
Une controverse est née. "C'est faux" ont dit les européens et les américains, ça ne guérit personne.
Evidemment c'est un médicament pas cher.
L'OMS a eu une attitude contradictoire à ce sujet. Celle-ci en avril 21 avait préconisé ce médicament tout comme le Remdesivir. Puis l'OMS s'est rétracté sur le 1° médicament mais par sur le second que le labo GILEAD vendait à prix d'or à l'Europe.(pétitions contre sa dangerosité connue dès avril 2020)
Le médecin indien Swaminathan de l'OMS proteste violemment ébut 2021 contre la propagande anti-ivermectine qui est criminelle... Qui a tort ? Qui a raison ? Qui a vu ? Si des journalistes occidentaux ont vu, ils se taisent curieusement.. On veut savoir.
Checknews écrit :"Par ailleurs, lintérêt de livermectine reste extrêmement spéculatif. Mi-juillet 2021, le constat dressé fin 2020 sur les preuves defficacité de livermectine sur le Covid-19 chez lhumain, en contexte clinique, reste inchangé : aucun effet significatif ne transparaît encore des synthèses détudes consacrées à ce traitement. Comme le note le Figaro, la contribution de livermectine à la décroissance de lépidémie est dautant plus douteuse au regard de lexpérience péruvienne : ce pays, qui a recommandé ce médicament de mai 2020 à mars 2021 dans les mêmes usages que lInde, na pas évité les vagues épidémiques daoût 2020 et février 2021."
"A noter que quarante jours après avoir ajouté livermectine à la liste des traitements recommandés, le ministère de la Santé indien a révisé son jugement. Depuis la seconde semaine de juin, ce traitement ne figure plus dans les recommandations pas plus que lhydroxychloroquine la doxycycline, le favipiravir ou lazithromycine. Dans de grands centres urbains comme New Delhi, les autorités sanitaires ont fait face à de graves pénuries de médicaments, doxygène ou de places dans les hôpitaux." (juin 2021)
Autrement dit tout est interdit, rien ne sert à rien. On ne saura pas pourquoi en Inde tout va mieux.... Il est vrai que le confinement dans la rue est sûrement très efficace ! Ainsi que les politiques sanitaires du gouvernement actuel !!.
Tous les citoyens couchés sur les trottoirs ont sûrement eu leur dose d'oxygène!
Qui dit vrai ? Qui dit faux ?? Peut-être que le virus a décidé de s'en aller, car nous doutons qu'il y ait bp de gens vaccinés en Inde: France Dimanche le 12 juil. 2021: Seuls 5% des Indiens sont complètement vaccinés. Problème : le nombre d'injections peine à décoller.
Mais on annonce une pénurie de vaccins
"Les mutations (du variant indien en juin 2021 "Conversation") telles que L452R, qui facilitent la liaison, nentraînent pas nécessairement une maladie plus grave ou ne rendent pas le virus plus mortel. Par exemple, si la variante B1427 semble se propager plus facilement, les recherches préliminaires nont pas montré quelle était associée à des infections plus graves ou à des charges virales plus élevées. Il pourrait en être de même pour la variante B1617, bien que cela doive encore être étudié."
Comment faire pour croire quelqu'un qui soit fiable ?
Nous formulons l'hypothèse que tout le monde ment.
29-8-21
(résumé de ce qui a été publié ci-dessous + une actualité)
EN 1996 le labo Pfizer profite d'une épidémie
de méningite à Kano au Nigéria qui a fait 12 000 morts,
pour expérimenter, sans aucun accord avec qui que ce soit, ni le ministère
de la santé, ni les familles, un antibiotique sur des enfants, le Trovan.
Ces tests vont s'avérer mortels pour certains dans la proportion de 11
cas sur 198, ou provoquer cécité, malformations et paralysie (189
jeunes enfants atteints). Pfizer persiste pourtant dans son essai, face à
l'aggravation de l'état des jeunes malades.
En principe on doit changer d'antibiotique face à un échec. Mais
on est au Nigéria
Pfizer avait obtenu la lettre d'un médecin nigérian corrompu,
qui, au nom d'une soi-disant commission d'éthique, autorisait l'antibiotique
en question. Pfizer reconnaîtra devant un tribunal américain que
la lettre était incorrecte, mais un peu tard, et se défendra en
disant que 5 cas mortels sur 100 est dans la norme des tests
C'est le Washington Post, alerté, qui, le 17 décembre 2000,
rend l'affaire publique. Le Washington Post a enquêté, et s'est
concentré sur les expériences pharmaceutiques en Afrique, en Asie,
en Europe de l'Est et en Amérique latine, détectant un système
de tests en plein essor et mal contrôlé dominé par des intérêts
privés.
L'expérience de Pfizer était un essai illégal d'un médicament
non enregistré par la FDA ( Food and Drug Administration) américaine,
au moment des tests, un cas évident d'exploitation de l'ignorance.
Les familles plaignantes ont porté plainte aux USA et été
déboutées en 2005 dans un procès civil, commencé
en 2001, mais la cour suprême des USA permettra un procès contre
Pfizer, par 4 familles nigériannes en 2010 ainsi que par la ville de
Kano. Celle-ci obtiendra 75 Millions de dollars, et chaque famille 175 000 dollars.
Jamais Pfizer ne reconnaîtra ses torts; jamais ce labo ne s'excusera publiquement,
et le laboratoire ne sera pas condamné pour son crime.
Il est très important de remarquer que La FDA US autorise le Trovan en
1997, 1 an après les faits, en excluant toutefois son usage sur les enfants.
Celui-ci sera restreint en 1999 (sévères affections du foie),
ne sera jamais autorisé en Europe, mais sera très répandu
outre Atlantique.
La FDA fonctionne donc au service des labos. Son équivalent en France
est l' ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament
et des produits de santé ).
Cette histoire nous intéresse particulièrement dans le cas
du vaccin Pfizer contre le Covid.
Ce vaccin contre le Covid bénéficiait jusqu'en août 2021
d'une autorisation temporaire d'urgence . Il était dit en phase
expérimentale. Le vaccin de l'alliance Pfizer-BioNTech (labo allemand
de Mainz) contre le Covid-19 est désormais pleinement approuvé
par la Food and Drug Administration (FDA), qui l'a annoncé dans un communiqué,
lundi 23 août 2021.
Cela signifie que l'immense majorité des vaccins s'est faite sous le
signe de cette autorisation temporaire, acceptée par l'agence française,
et l'Europe. Personne n'en a jamais rien su.
Par ailleurs l'autorisation définitive comprend un avertissement sur un risque accru de myocardite, une inflammation du muscle cardiaque, après la vaccination. Ce risque est plus élevé chez les jeunes hommes, dans les sept jours suivant la deuxième injection. Mais les cas déclarés sont extrêmement faibles. Néanmoins les agences ci-dessus se déclarent très attentives à leur sujet et demandent à ceux qui vaccinent de suivre de très près les gens vaccinés.
Questions:
Lors de vaccination dans des pays où le service des urgences est régulièrement
submergé (grèves régulières des soignants depuis
des années en France à ce sujet), ou dans les pays du tiers monde
qui n'ont pas de système de santé correct ou pas du tout, que
font les personnes ayant des douleurs dues à une myocardite ? A qui s'adressent-elles
si ceux qui vaccinent sont itinérants et ne sont pas médecins
? Il est signalé que ces myocardites sont sans conséquences durables
si les patients reçoivent le soutien médical approprié
immédiat, qu'en est-il dans le cas contraire ?
On ne peut pas accepter ce risque de myocardites aussi petit soit-il, en faisant
des comparaisons chiffrées entre les dits bienfaits du vaccin qui seraient
considérables face à des accidents infinitésimaux qui ont
toutes les chances d'être pourtant très graves dans les pays sans
système sanitaire correct.
On peut d'autant moins accepter ces risques quand on a affaire à Pfizer
qui a manifesté un cynisme particulier dans les essais de son médicament
le Trovan en 1996 et qui reste impuni.
AMC 27-8-2021
France Inter a lancé une enquête sur l'acceptabilité du
vaccin par les français, auprès de 100 000 personnes. Les premiers
résultats (8 juillet) indiquent une opposition de type politique au vaccin,
venant surtout des femmes, qui acceptent mal les appels du gouvernement à
la vaccination pour des motifs de solidarité et de " respect "
alors que le gouvernement, dans sa gestion de la pandémie et de l'hôpital
n'a fait preuve d'aucune solidarité et de respect
.
Je suis vaccinée contre le tétanos, pratiquant des travaux agricoles.
Je constate que depuis quelques années, on ne peut plus se faire vacciner
du seul tétanos mais on est obligé d'acheter un vaccin cocktail
contre d'autres maladies, uniquement pour " alourdir " le prix à
payer
.
En tant qu'économiste, je n'ai pu que constater les bienfaits des vaccins
d'après guerre, proposés au nom de la santé, à l'époque.
Aujourd'hui, il n'en est plus ainsi, les vaccins ont une terrible odeur nauséabonde
de fric (surtout depuis la modification du rôle des actionnaires dans
les labos par la grâce des socialistes au début des années
80), tels ceux contre le H1N1 qui ont été largement repoussés
en France en 2009.
Il y a longtemps que je ne me fais plus vacciner contre la grippe.
Si John Le Carré était là, il dirait que derrière
les vaccins actuels, donc des labos, il y a " le crime " (cf son roman
" La constance du jardinier de 2000).
Et effectivement il y a le crime concernant Pfizer. (doc ci-dessous concernant l'Hydoxychloroquine)
J'avais déjà constaté que les essais du vaccin contre la
dengue mal préparé par notre labo Sanofi avaient fait en 2019
des centaines de morts aux Philippines, et qu'il n'y a toujours pas de vaccin
contre la dengue
.contre la malaria, contre le sida et d'autres maladies
car pas d'espoir de marchés lucratifs !!
Le vaccin contre le covid est un vaccin pour pays riches. Une chance pour les
labos que le covid se soit répandu également en Occident ! Tous
les arguments pour plusieurs doses du vaccin sont entachés par cette
interrogation : plusieurs doses ne rapportent-elles pas des millions aux labos
?
49% des habitants de l'UE sont vaccinés (une dose), contre 2% de la population
africaine (Le Monde du 7 juillet 21), et l'UE refuse de soutenir le levée
des brevets et le transfert des technologies aux pays pauvres, comme les USA.
L'OMS dit : seul 1% des 3,3 mds de doses déjà administrées
dans le monde, l'ont été dans les pays les plus pauvres.
Alors tout est dit. Ce vaccin pue le fric et le crime !
C'est la première raison qui m'éloigne de la seringue avec
dégoût.
Mais pire, cette vaccination à deux vitesses, favorise l'émergence
de variants de plus en plus dangereux (OMS Le Monde des 11 et 12 juillet 21)
: Donc tout est fait objectivement pour garder le virus.
La seconde raison de mes réserves tiendrait aux effets à moyen terme du vaccin, totalement inconnus, puisque nous servons de cobayes, nous sommes dans la phase 3 des essais, phase expérimentale jusqu'en 2022 .
La troisième raison tient au fait que pas un scientifique préposé
à la lute contre le Covid n'a d'abord indiqué qu'il fallait modifier
les conditions dans lesquelles naissent ces nouveaux virus (et ça n'est
pas fini) : Monocultures productivistes, élevage d'animaux en batteries
industrielles (cochon, poulets, canards
) qui propulsent quantité
de virus du fait même des conditions anormales dans lesquelles on les
fait vivre. (épidémies de H1N1 chez les poulets et canards, peste
porcine récurrente en Chine
)
La quatrième :L'INSERM vient de publier une expertise sur les
pesticides le le 30 juin 2021. Depuis des années il est question des
effets dramatiques des pesticides sur la santé. Malgré l'opposition
du " monstre " Monsanto, il y a eu des procès retentissants
aux USA à l'initiative de malades des pesticides
Et ceux-ci ont
obtenu gain de cause. Rien n'y fait, en France et en Europe, les industriels
des pesticides menacent les malades, les scientifiques non attachés aux
industriels, les ONG.. Et les gouvernements s'agenouillent avec respect devant
ces criminels de l'argent. Car qu'est-ce qui est en cause sinon l'argent ???
Cette fois c'est l'INSERM qui donne les résultats de son travail par
voie imprimée (dans 6 mois, sa version électronique) (Le Monde
du 2 juillet 21). Parmi toutes les atteintes à la santé humaine,
sont signalées, entre autres des pathologies respiratoires.
Dans l'infection par le covid, les personnes fragiles peuvent mourir par obstruction
des voies respiratoires ! Qu'à cela ne tienne ! Le gouvernement et son
fameux conseil scientifique (aussi scientifique que je suis nonne !) qui sont
parfaitement au courant depuis des lustres des effets nocifs des pesticides,
appellent ceux qui ne sont pas vaccinés à la solidarité
et au respect des autres ! Les mots ont-ils encore un sens ? De qui ces gens
se moquent-ils ?
Les gens malades du covid n'ont eu droit à aucun soin immédiat
même pas les soins les plus traditionnels et élémentaires
contre la grippe tels que par exemple le Chlorure de magnésium (Magnogène
supprimé par les labos car pas assez cher, et surtout trop efficace pour
garantir l'immunité) : aujourd'hui on peut encore le trouver en poudre
dans des sachets, à mélanger avec de l'eau, mais c'est proprement
infâme
et les généralistes indéfectiblement
attachés aux labos avec une laisse de chien, ne le connaissent plus.
(je ne vais pas décrire ici la panoplie des soins possibles contre la
grippe, inconnus des généralistes .
Ainsi que l'hydroxychloroquine qui a été interdit mais dont l'armée
dispose comme elle l'entend pour soigner les soldats, car la guerre et les campagnes
ne peuvent supporter des gens malades!!
Cinquième raison : Enfin une étude de " Santé
publique France " (Le Monde du 6 juillet 21) révèle en début
de mois les effets toxiques des métaux lourds (arsenic, cadmium, mercure,
nickel
.) dont nous sommes imprégnés à plus de 90
%. Ils provoquent entre autres choses, une déficience immunitaire ! (lire
tout l'article). Il y a plein de ces métaux lourds dans les céréales
du petit déjeuner !
Ce n'est pas la première fois qu'on l'entend dire, qu'on le voit écrit
!
Le covid est donc d'autant plus efficace sur les voies respiratoires et dans
un organisme à faible immunité !! C'est su et connu ! Mais le
vaccin est là !!!! On va obliger les soignants à se vacciner !
Continuons à détériorer la santé, et fabriquons
des vaccins !
C'est la même chose pour le diabète et pour le cancer : l'environnement
contribue à développer ces maladies, mais les labos criminels
vont nous sauver. Ainsi va la logique meurtrière des responsables politiques
!
Alors, vous les gouvernants, les gens qui savent tout, les flippés en
tous genres, les poncifs
.. Parlez-nous du respect d'autrui et de la solidarité
!
Oui je sais, ça n'est pas mon refus personnel du vaccin, qui changera
la donne ou qui aura une quelconque efficacité !
Mais j'ai le devoir de dire non.
D'autant qu'il semble bien que la maladie a été refoulée
en Chine par l'Hydroxychloroquine !
Tous les phraseurs, les culs bénis de la " politique ", les
menteurs en tous genres
qu'ils continuent donc leurs fredaines dégoulinantes
en vue des présidentielles !
Le peuple finira par se lever !
AMC le 11-7-21
Selon le professeur Raoult, ce médicament contre le paludisme, vieux
de 70 peut soulager et aider les personnes qui, selon toute vraisemblance, présenteraient
les symptômes du covid : symptôme de la grippe + violents maux de
tête + toux.
Ce médicament absorbé dès le début de la maladie
a, selon lui, des vertus bienfaisantes, que Raoult a utilisé avec ses
collègues de l'IHU dès le début de 2020.
L'hypothèse de Raoult repose sur l'administration du médicament
en tout début de maladie, dans les 7 premiers jours des premiers signes
donc en consultation à l'hôpital, ou chez le généraliste,
ou chez soi. Il le préconise également en prévention pour
les patients à risque et les personnels soignants.
Raoult précise bien qu'administrer le médicament à quelqu'un
qui en est déjà au stade de la maladie en pleine expansion, c'est-à-dire
hospitalisé, est devenu inutile.
L'expérimentation du médicament par les détracteurs du
prof Raoult
D'après une liste d'expérimentations ( à publier intégralement
si c'est possible car les éléments précis de celles-ci
manquent), faites pour prouver que ce médicament n'a aucun effet ou est
dangereux, il emble que les détracteurs ont utilisé le médicament
sur des personnes surtout hospitalisées, sans dire à quel stade
de la maladie elles en étaient. Est-ce compatible avec l'utilisation
qu'en fait Raoult dans ses services ?
Ce point doit être établi avec la plus grande précision,
sinon on ne parle pas de la même chose.
L'expérimentation conclut à l'inefficacité et à
des effets secondaires
Les chercheurs, les médecins, pour tester le médicament, auraient
établi des listes de malades dont les uns (désignés au
hasard) auraient reçu le médicament, et les autres n'auraient
rien reçu.
Toutes les études de ce type auraient conclu à un effet nul du
médicament, ou à des effets non significatifs. Par contre des
effets secondaires, soit cardiaques, soit sur la vision, auraient été
enregistrés. Parfois sévères. De nombreuses expérimentations
auraient eu lieu dans plusieurs pays avec les mêmes résultats.
C'est la fameuse revue " the Lancet " ou " Nature " qui
ont donné ces résultats.
Outre que " The Lancet " a dû retirer en toute hâte des
articles jugés mensongers à ce sujet, il est de notoriété
publique que cette revue est entre les mains des labos les plus puissants.
Les effets secondaires énumérés n'ont jamais été
observés lors de l' usage de ce médicament contre le paludisme.
Il a fallu le Covid pour que ce vieux médicament fasse connaître
ses dits méfaits concernant des effets secondaires.
L'expérimentation sur ce médicament, à laquelle le gouvernement
français se réfère, ne donne pas le protocole utilisé
et la nature des malades choisis.
A l'évidence les essais ont eu lieu sur des malades hospitalisés,
ce qui n'était pas le choix de Raoult.
Qu'a dit Raoult sur tous ces essais ? Qu'ils étaient nuls sur le plan
scientifique. Il a traité par un mépris agacé ces attaques,
et fait valoir son pragmatisme et ses expériences, sans se douter de
ce qui allait arriver. Le médicament a été interdit à
la prescription, et même à la vente en pharmacie même sur
ordonnance !! Par qui ? Des agences du gouvernement.
Pour notre part, nous savons que pour expérimenter la valeur d'un médicament, il faut préalablement définir le protocole de l'expérimentation avec la plus grande précision. Et s'il y a conflit entre les parties, celle-ci doivent et peuvent nécessairement se mettre d'accord sur ce protocole. Si cela n'est pas, l'expérience doit être déclarée nulle si elle est menée par une seule partie, sans l'accord de l'autre partie.
Le problème s'est posé jadis pour les médicaments homéopathiques. Jamais les parties en présence n'ont pu se mettre d'accord sur un protocole, ce qui constituait la base de toute vérification. Il fallait entre autre reproduire des expériences identiques à celles annoncées par les homéopathes. Mais les détracteurs ne voulaient pas reconnaître la possibilité d'expériences identiques (malades présentant des profils semblables par ex). Les uns parlaient de malades à traiter, les autres de maladies à traiter sans considération des malades or c'est toute la divergence entre les uns et les autres. Et cela rendait certes l'expérience difficile. Donc aucun protocole n'a pu être défini et posé.
Dans le cas du covid, il fallait trouver un échantillon de malades en
phase initiale de symptômes, et un échantillon de personnes à
risques, les séparer chacun en deux groupes au hasard, et prescrire aux
uns de l'hydroxyne chloroquine, et aux autres un pseudo médicament ne
contenant rien.
Puis il fallait se mettre d'accord sur le temps d'attente concernant l'évolution
des symptômes, puis faire consigner ces symptômes par des personnes
agrées des deux parties.
Nous n'avons jamais vu décrits les éléments d'un tel protocole
dans les expériences relatées sur internet dans tel ou tel hôpital
de divers pays. Et les deux parties n'étaient pas présentes. Raoult
n'a pas été invité à de telles expériences.
La chose était déjà jugée avant toute expérience
dont les conditions de protocole étaient inconnues.
Nous pouvons donc affirmer que le jugement dit scientifique donné sur
l'hydroxy chloroquine est un jugement a priori, totalement fallacieux, et que
les expériences vantées de ci de là n'ont aucune validité
scientifique.
L'affirmation de Raoult, selon laquelle les malades potentiels n'étaient
pas soignés dès qu'ils présentaient des premiers symptômes,
se trouve donc vérifiée.
Il semble bien hélas qu'il fallait montrer que le covid était
une maladie insoignable, si ce n'est, à un stade de grande gravité
de la maladie, par intubation, donc mortelle.
La seule perspective ouverte était le vaccin à venir, sur lequel
travaillaient des labos ayant tous sur la conscience des accidents mortels suite
à de mauvais médicaments, tel par exemple le Trovan par Pfizer,
retiré du marché en 1999, après tous ses méfaits.
Tout cela pour une grosse affaire commerciale devant rapporter beaucoup d'argent.
AMC 20-8-21
13 janvier 2021 E-000178/2021
Question avec demande de réponse écrite E-000178/2021
à la Commission
Article 138 du règlement intérieur
Mathilde Androuët (ID) Réponse écrite
Objet: La Commission a-t-elle pris en compte le passif du laboratoire Pfizer?
L'Agence européenne des médicaments a octroyé une autorisation
de mise sur le marché conditionnelle pour le vaccin de Pfizer/BioNTech
sur la foi des données transmises par Pfizer. La Commission a négocié
une option d'achat pour 2,3 milliards de doses de plusieurs candidats vaccins,
mais seuls ceux de Pfizer/BioNTech et Moderna ont été autorisés
sur le marché européen à ce jour.
Or, Pfizer a été condamné à de multiples reprises
aux États-Unis pour falsification de données, corruption active
et versement de commissions occultes. En 2016, le laboratoire a été
également condamné en Angleterre à une amende de 84,2 millions
de livres pour la surfacturation du prix de son traitement contre l'épilepsie.
En 1996, Pfizer avait aussi été accusé d'avoir provoqué
au Nigeria la mort de 11 enfants et des dommages physiologiques sur beaucoup
d'autres en testant sur eux un antibiotique. Wikileaks a révélé
en 2010 que Pfizer aurait essayé de trouver des preuves de corruption
contre le ministre de la justice nigérian pour le contraindre à
abandonner ses poursuites.
Ce passif et les méthodes de Pfizer ont-ils été pris en
compte par la Commission lors des négociations?
Dernière mise à jour: 27 janvier 2021
Réponse : (très générale, laissant de côté les éléments de la question)
Questions parlementaires 37k 18k
26 avril 2021 E-000178/2021(ASW)
Réponse donnée par Mme Kyriakides
au nom de la Commission européenne
Référence de la question: E-000178/2021
Les contrats d'achat anticipé, qui sont au cur de la stratégie
de l'Union européenne concernant les vaccins contre la COVID-19(1), ont
été conclus avec des producteurs de vaccins qui disposaient de
candidats vaccins prometteurs ainsi que du potentiel de livrer des doses à
l'échelle nécessaire et dans les délais nécessaires,
et en tenant compte des critères de sélection définis dans
la stratégie.
Un comité de pilotage, composé de représentants de tous
les États membres, a guidé la Commission et l'équipe conjointe
de négociation lors de la négociation des contrats d'achat anticipé.
En outre, comme indiqué dans l'accord entre la Commission et les États
membres, qui sous-tend la stratégie, afin de lancer des négociations
avec un fabricant spécifique, le soutien d'au moins quatre États
membres participants est nécessaire.
Lorsque la stratégie a été élaborée, personne
ne savait lesquels des nombreux vaccins contre la COVID-19 en cours de mise
au point dans le monde seraient concluants. C'est la raison pour laquelle la
Commission s'est appliquée à créer un large éventail
de candidats vaccins, représentant différentes technologies. En
ce qui concerne le vaccin de BioNTech-Pfizer, la Commission s'est à présent
assuré la livraison de 600 millions de doses au plus, reconnaissant le
succès de la technologie de l'ARN messager. La Commission a signé
le contrat après l'aboutissement positif d'une procédure d'appel
d'offres négociée, fondée sur des critères objectifs.
Afin d'autoriser un médicament quel qu'il soit, l'Agence européenne
des médicaments doit avoir à sa disposition et évaluer
des informations fiables sur son innocuité, son efficacité et
sa qualité pharmaceutique, la plus grande importance étant attachée
à l'innocuité. En dépit du contexte de pandémie,
les exigences d'innocuité imposées aux vaccins contre la COVID-19
restent aussi élevées que celles qui le sont à tout autre
vaccin dans l'Union.
(1)
https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?qid=1597339415327&uri=CELEX:52020DC0245
Dernière mise à jour: 26 avril 2021
..
Le litige Kano - Pfizer, un crime contre le Nigeria
ENTREPRISES PHARMACEUTIQUES PERSONNEL DE CORVELVA 17 FÉVRIER 2019 VISITES:
20555
L'expression "litige Kano" fait expressément référence
à toutes les affaires judiciaires impliquant la multinationale Pfizer
à la suite d'une expérimentation humaine non autorisée
sur des enfants dans la ville de Kano, au Nigéria.
En 1996, plus de 12.000 XNUMX personnes sont mortes en Afrique d'une épidémie
de méningite. A Kano, dans le nord du Nigéria, les médecins
de Pfizer, l'une des plus grandes sociétés pharmaceutiques au
monde, ont proposé, dans le cadre d'un programme d'urgence lancé
par l'OMS (Organisation mondiale de la santé) pour soigner environ deux
cents enfants, la moitié avec le nouveau médicament expérimental
Trovan, et l'autre moitié avec le meilleur médicament contre la
méningite sur le marché à l'époque, la ceftriaxone.
5 enfants sont morts sous traitement avec le nouvel antibiotique expérimental
Trovan (tandis que de nombreux autres ont été victimes de cécité,
de malformations et de paralysie) et cependant, selon les médecins de
Pfizer, le test a donné de bons résultats.
L'antibiotique expérimental Trovan a ensuite été commercialisé
en Europe, mais uniquement pour les adultes et, pratiquement immédiatement,
en 1998 retiré du marché en raison de sa toxicité élevée.
L'opinion publique du monde entier a mis en lumière le cas des enfants
de Kano après que le journaliste Joe Stephens a écrit le 17 décembre
2000 dans le Washington Post un article qui décrivait bien la situation
de Kano.
Dans cette ville poussiéreuse du Nigeria, une épidémie
fait rage qui fait de nombreuses victimes et l'arrivée de médecins
étrangers qui dispensent gratuitement des médicaments coûteux
est considérée par la population comme un salut absolu. L'organisation
d'aide Médecins sans frontières avait déjà mis en
place un centre de traitement destiné uniquement à sauver des
vies, tandis que les médecins et chercheurs de Pfizer avaient créé
une unité distincte. Ils utilisaient l'épidémie de méningite
au Nigeria pour mener des expériences sur des enfants avec ce que Pfizer
croyait être un nouvel antibiotique prometteur - un médicament
non encore approuvé aux États-Unis.
Le médicament expérimental était un succès potentiel:
les analystes de Wall Street ont déclaré que Pfizer pourrait lever
1 milliard de dollars par an si Trovan obtenait l'approbation pour toutes ses
utilisations potentielles. Pfizer voulait également tester le médicament
contre la méningite, y compris une souche épidémique. La
société ne trouvant pas suffisamment de patients aux États-Unis,
ses chercheurs étaient donc venus à Kano, parmi les mourants.
Le cas le plus emblématique, ou du moins celui qui est arrivé
au bureau du Washington Post, était celui d'une fillette de 10 ans pesant
41 kilogrammes. Son nom n'a jamais été connu, il a été
remplacé par les médecins Pfizer en tant que patient numéro
0069 sur le site de test numéro 6587.
6587-0069 vivait au Nigeria, à Kano, et en avril 1996, elle a contracté
une méningite mais est décédée 3 jours après
avoir pris une dose de 56 milligrammes de l'antibiotique expérimental
Trovan. Évidemment, personne ne peut savoir si la mort du 6587-0069 est
survenue à la suite de l'expérimentation, d'autant plus que les
seules données en sa possession proviennent des dossiers médicaux
des chercheurs de Pfizer, mais ce n'est pas le sujet. Peut-être que la
fille était au-delà de tout espoir. Pourtant, les circonstances
de sa mort, après avoir pris un médicament non approuvé
dans une situation où une entreprise privée expérimentait
un médicament, suggèrent des problèmes beaucoup plus importants.
Au fil des ans, le Washington Post s'est concentré sur les expériences
pharmaceutiques en Afrique, en Asie, en Europe de l'Est et en Amérique
latine, détectant un système de test en plein essor et mal contrôlé
dominé par des intérêts privés visant uniquement
à favoriser l'économie.
Ces drogues, comme la drogue de Kano, sautent les frontières avec un
mauvais examen du gouvernement et entrent dans le total des critiques uniquement
privées. Le contrôleur est celui qui produit, teste, voit. Les
ressources limitées que la FDA alloue pour superviser les expériences
à l'étranger permettent aux sociétés pharmaceutiques
de payer des médecins dans les pays du tiers monde et en Europe de l'Est
pour tester leurs médicaments pour des milliers de sujets humains.
Le problème alarmant est que la FDA, comme l'EMA, exige que les patients
vous donnent tous les tests, quel que soit leur lieu de résidence, consentent
pleinement aux expériences si les résultats doivent être
utilisés pour obtenir l'approbation de commercialisation. Mais l'enquête
qui a résulté des procès liés au "Kano Litigation"
et plus tard au Washington Post, a révélé que dans de nombreux
autres cas les règles n'étaient pas appliquées, il n'y
avait pas de consentement éclairé et, par conséquent, comment
la FDA ou L'EMA approuve-t-elle les produits pharmaceutiques si la documentation
requise pour l'approbation elle-même est manquante?
De toute évidence, étant Pfizer américain, le problème
et les questions s'élargissent. Si la FDA n'aurait pas pu approuver le
médicament Trovan, les institutions américaines le savaient-elles?
Les nigérians?
Une source anonyme a envoyé un rapport très long et détaillé
du gouvernement nigérian au Washington Post en 2006. Ce rapport, au contenu
explosif, a été caché à tout le monde malgré
l'enquête des avocats des enfants et des médias du monde entier.
Le rapport conclut comme suit:
Pfizer n'a jamais obtenu l'autorisation du gouvernement nigérian pour
donner le médicament non prouvé à près de 100 enfants
et bébés. Pfizer a sélectionné des patients dans
un hôpital de campagne de la ville de Kano, où les enfants avaient
été traités pour une souche de méningite souvent
mortelle. À l'époque, Médecins sans frontières a
distribué des antibiotiques approuvés à l'hôpital
... L'expérience de Pfizer était un essai illégal d'un
médicament non enregistré, un cas évident d'exploitation
de l'ignorance "
Pfizer a toujours affirmé que ses chercheurs se sont rendus à
Kano avec un motif purement philanthropique, pour aider à lutter contre
l'épidémie, qui a finalement tué plus de 15.000 XNUMX Africains.
La commission médicale nigériane a totalement rejeté cette
explication ridicule, soulignant que les médecins de Pfizer ont terminé
leur procès et sont partis alors que "l'épidémie était
toujours en cours" et que l'expérience violait la loi nigériane,
la Déclaration internationale de Helsinki régissant la recherche
médicale éthique et la Convention des Nations Unies relative aux
droits de l'enfant.
Le groupe nigérian d'experts qui a rédigé le rapport sur
l'affaire Kano a recommandé que Pfizer soit "convenablement et directement
sanctionné", demandant officiellement à Pfizer de présenter
des excuses sans réserve au gouvernement et au peuple nigérians.
En trouvant la documentation relative au cas de Kano, nous avons réalisé
combien d'aspects de la question subsistent après des années très
très mystérieuses. À ce jour, nous n'avons pris connaissance
du rapport du gouvernement nigérian que par le biais du Washington Post,
car le rapport reste confidentiel aujourd'hui. Le chef de l'équipe d'enquête
du gouvernement, Abdulsalami Nasidi, a déclaré en 2006 que le
rapport n'avait jamais été publié. Il est supposé,
à la lecture d'articles de journaux nigérians, que Nasidi a décrit
avoir été la cible de menaces de mort non spécifiées
à ce jour.
L'enquête s'est terminée par une confirmation, Pfizer n'a jamais
demandé le consentement des parents des enfants ou du gouvernement nigérian
pour le traitement expérimental. En 2010, la Cour suprême nord-américaine
a autorisé le procès contre Pfizer et quatre familles nigérianes
ont reçu une indemnité de 175.000 dollars chacune d'un fonds de
35 millions de dollars créé par un accord entre la société
pharmaceutique et la ville de Kano où le expériences. Les paiements
font partie d'un règlement à l'amiable conclu en 2009.
Cet incident est l'une des causes de l'échec de certaines campagnes de
vaccination contre la polio promues par l'OMS au Nigéria, qui est le
pays avec le pourcentage le plus élevé de personnes atteintes
de poliomyélite dans le monde.
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source:
" www.washingtonpost.com
" www.nytimes.com
" www.ilpost.it
Des essais cliniques du géant du médicament Pfizer ont-ils provoqué
la mort d'enfants nigérians en 1996 ? La Cour suprême devait examiner,
le 20 juillet, la validité des plaintes déposées par l'Etat.
Par Philippe Bernard
Publié le 20 juillet 2007 à 13h39 - Mis à jour le 30 juillet
2009 à 20h49 Le Monde
Temps deLecture 7 min.
"
Nigeria contre laboratoire Pfizer : cette affaire-là se présente
comme un précipité de tous les maux de l'Afrique - épidémie,
pauvreté, corruption - et des angoisses de notre planète mondialisée
- déséquilibre Nord-Sud, rapport de forces entre Etats et firmes
multinationales. A première vue pourtant, les procès intentés
par l'Etat de Kano (Nigeria), puis par l'Etat fédéral nigérian
lui-même, contre Pfizer, numéro un mondial de l'industrie pharmaceutique,
soulèvent une question tragiquement simple : le géant américain
du médicament a-t-il, sous prétexte d'accélérer
les essais du Trovan, un nouvel antibiotique financièrement prometteur,
mis en danger la vie, voire provoqué la mort d'enfants nigérians
en 1996 ?
Le dossier judiciaire fédéral, le premier du genre en Afrique,
doit être examiné vendredi 20 juillet, à Abuja, la capitale
du Nigeria, par la Cour suprême du pays. Les juges examineront la validité
de la procédure et fixeront éventuellement un calendrier d'audiences.
L'Etat nigérian réclame rien moins que 7 milliards de dollars
(5,1 milliards d'euros) de dommages-intérêts dans ce procès
civil doublé d'une action pénale pour "faux", "possession
de substance illégale" et "exercice illégal de la médecine".
Il reproche au laboratoire d'avoir mené une expérimentation irrégulière
ayant conduit au décès d'enfants ou à de graves atteintes
cérébrales. La plainte soutient que les familles n'ont pas donné
leur consentement et que le médicament était "impropre à
l'usage sur l'homme". Ce que Pfizer dément vigoureusement, assurant
que l'essai a été conduit en plein accord avec les autorités,
dans le respect des règles éthiques et de sécurité.
Tout commence en avril 1996 dans la torpeur fétide de l'Infectious Disease
Hospital de Kano, capitale du nord du Nigeria. A une terrible épidémie
de méningite, maladie rapidement mortelle, s'ajoutent les ravages du
choléra et de la rougeole. Une quarantaine de volontaires de Médecins
sans frontières (MSF) vaccinent et soignent à tour de bras.
Surchargé, l'hôpital de Kano, 650 lits en théorie, peine
à faire face à l'afflux de malades. "Chaleur extrême,
problèmes d'hygiène, d'eau, manque de lits et de bras", résume
pudiquement Karin De Jonge, une infirmière néerlandaise à
l'époque coordonnatrice pour MSF-Belgique à Kano, qui se rappelle
avoir travaillé "sept jours sur sept, à 100 %, dans des conditions
loin d'être idéales". L'équipe de Pfizer et son Trovan
font irruption dans cette atmosphère bouillonnante. "Ils nous ont
expliqué ce qu'ils faisaient, ils étaient corrects. Mais l'heure
n'était pas à s'asseoir pour discuter d'un essai clinique",
poursuit l'infirmière. La tension croît lorsque l'hôpital
requiert une unité de soins et du personnel pour les besoins de l'expérimentation.
"Nous étions au pic de l'épidémie et nous avions besoin
de toutes les énergies, de tous les lits, témoigne l'ancienne
volontaire. C'est important de faire des expérimentations, mais là,
ce n'était vraiment pas le moment ! J'ai ressenti de la colère.
Il y avait trop d'incohérence."
"On se marchait sur les pieds, confirme Evariste Lodi, un médecin
belge chargé par MSF du suivi des malades à Kano, qui se souvient
d'avoir vu arriver "l'équipe de Pfizer accompagnée d'un professeur
nigérian mandaté par le gouvernement. Il utilisait des aiguilles
ordinaires pour faire des ponctions lombaires à des enfants". D'autres
éléments l'avaient "choqué" : "A cause de
leur expérimentation, tous les malades n'avaient pas droit au même
traitement (une centaine était traitée au Trovan, cent autres
recevaient un antibiotique différent). Le médecin local était
sans cesse derrière nous pour obtenir des statistiques, car il voulait
absolument signer une publication. Pour lui, affirme le docteur Lodi, ce n'était
pas la santé des malades qui comptait, mais l'essai pharmaceutique."
Le monde n'aurait sans doute jamais frémi du bilan de cette épidémie
- 15 800 morts dans dix pays d'Afrique - et encore moins des affres des médecins
de Kano, si l'affaire n'avait pas fait les gros titres du Washington Post le
17 décembre 2000. Sous le titre : "Les chasseurs de corps. La multiplication
des essais de médicaments met en balance les profits et les vies".
Ce jour-là, l'affaire Pfizer fait l'objet du premier de six très
longs articles, fruits d'une année entière de minutieuses enquêtes.
Retentissante, la série dénonce " un système d'essais
cliniques en pleine expansion, peu réglementé et dominé
par des intérêts privés". "Des patients déshérités,
peu éduqués, sont parfois l'objet de tests sans comprendre qu'ils
servent de cobayes, écrit le journaliste Joe Stephens. Des laboratoires
pharmaceutiques américains rémunèrent des médecins
pour effectuer des tests sur des milliers d'êtres humains dans le tiers-monde
et en Europe de l'Est." Ceci pour accélérer la mise sur le
marché de médicaments qui "seront principalement vendus aux
malades des pays riches".
A Kano, en 1996, révèle le Washington Post, sur les 198 enfants
souffrant de méningite concernés par l'essai du Trovan, "11
sont morts, tandis que d'autres souffrent de handicaps liés à
la méningite comme la surdité ou la cécité".L'enquête
n'établit nullement un lien général entre la prise de l'antibiotique
testé et des décès. Mais elle met en exergue le cas de
deux enfants. Agés de 7 et 10 ans, ils avaient continué d'être
traités au Trovan alors que leur état déclinait. En pareil
cas, un traitement alternatif est normalement tenté.
Dès cette époque, Pfizer, cité par le Washington Post, faisait état de résultats positifs et précisait que l'essai du Trovan avait été validé par un comité d'éthique nigérian. Pfizer rétorquait aux allégations du journal selon lesquelles la firme, pressée d'obtenir une autorisation de mise sur le marché de la forme orale du Trovan, y compris sur les enfants, avait affrété un DC9 spécial pour dépêcher une équipe à Kano. Le laboratoire affirmait que le choix d'un essai sur la méningite, maladie qui touche essentiellement les pays pauvres, démontre l'objectif philanthropique de l'opération. A nouveau aujourd'hui, à l'approche du procès nigérian, Pfizer affirme que le Trovan avait déjà été testé sur 5 000 personnes et que le nombre de morts parmi les enfants de Kano, auquel le nouveau médicament avait été administré - cinq sur une centaine -, est quasiment équivalent au nombre de décès dans l'échantillon comparatif - six sur une centaine. "L'étude sur Trovan a permis de sauver des vies",assure le laboratoire. La carrière postérieure du Trovan, dont Pfizer espérait 1 milliard de dollars de profit par an, allait pourtant confirmer les soupçons. L'autorisation de la Food and Drug Administration (FDA) américaine, finalement accordée en 1997, a été assortie d'une interdiction aux enfants. En Europe, le Trovan n'a jamais été autorisé. Aux Etats-Unis, son usage a été restreint en 1999 après qu'il a été associé à de sévères affections du foie et à des décès. Entre-temps, il était devenu l'un des antibiotiques les plus prescrits outre-Atlantique.
Dans le sillage de l'enquête du Washington Post, des familles de victimes
nigérianes tentèrent un procès civil en 2001 aux Etats-Unis.
Elles furent déboutées en 2005. Un document capital, demeuré
introuvable, leur manquait. Daté de 2001 et rédigé par
des experts nigérians, il fut publié, toujours dans le Washington
Post en mai 2006. Son contenu, accablant, a ouvert la voie aux actuels procès.
Le panel de médecins concluait que Pfizer n'avait obtenu ni autorisation
du Nigeria, ni accord formel des familles. Il a établi que la forme orale
du Trovan n'avait jamais été testée auparavant sur des
enfants atteints de méningite.
Pourquoi ce document officiel nigérian est-il resté dans les tiroirs
? La réponse tient sans doute dans le niveau de corruption qui sévit
au Nigeria. Le rapport révélait ainsi qu'un médecin nigérian
avait rédigé une lettre antidatée certifiant que l'expérimentation
du Trovan avait été approuvée par un comité d'éthique.
Pfizer a reconnu que cette lettre était "incorrecte" et exprimé
ses "regrets". La firme assure qu'au moment des faits, elle était
convaincue d'avoir suivi la procédure adéquate.
Un autre événement, littéraire celui-là, allait
donner un vaste écho à la problématique des essais de médicaments
en Afrique. Publié en décembre 2000, porté à l'écran
en 2005, La Constance du jardinier, de John Le Carré, dénonce
avec violence l'exploitation du tiers-monde par l'industrie pharmaceutique.
Le roman met en scène une firme multinationale capable de tuer pour protéger
le secret d'essais thérapeutiques scandaleux.
L'émotion et la révolte suscitées par ce livre et ce film
ont rendu l'opinion encore plus réceptive à l'affaire de Kano.
Elles ne devraient cependant pas accréditer l'idée selon laquelle
tout essai thérapeutique est à bannir dans les pays pauvres, estime
Jean-Hervé Bradol. Le président de MSF voit dans "les revendications
financières excessives du Nigeria", le danger de dissuader les laboratoires
de poursuivre des essais dont l'Afrique a besoin. Sur les 1 556 nouveaux médicaments
mis sur le marché entre 1975 et 2004, explique-t-il, seuls vingt concernent
des maladies parasitaires ou infectieuses qui tuent chaque année 15 millions
de personnes dans les pays pauvres.
A Kano, l'affaire du Trovan a généré de nombreuses rumeurs.
Pendant des années, des pans entiers de la population ont refusé
la vaccination antipolio, accusée de transmettre le sida ou de rendre
stérile. Des prêcheurs musulmans, eux, ont vu dans l'expérience
de Pfizer la preuve d'un complot ourdi par les Etats-Unis.
Philippe Bernard
Il y a peu la direction du Monde dans son éditorial écrivait "le
droit, rien que le droit", et ceci après l'approbation du dit pass-sanitaire
par le Conseil constitutionnel.
Très étonnant de la part du Monde que sa caution donnée
à un document qui n'a aucune fonction de santé publique mais une
seule fonction policière.
D'une part donner des missions de police sanitaire aux patrons de bistrots,
restaurants, musées, cinémas, salles de concerts etc ( lesquels
ont beaucoup souffert du confinement) pour faire la chasse aux non vaccinés,
ce qui ne les regarde pas, et d'autre part tenter par tous les moyens d'obtenir
la reddition des non-vaccinés en les privant de tout ce à quoi
ils ont eu droit dès la fin du printemps après le confinement,
relèvent de l'ignominie..
C'est diviser pour régner et continuer la bonne affaire des vaccins en
sachant que Pfizer en est à plus de 33 Mds de dollars de gain sur des
vaccins dont il s'est déchargé de toutes ses responsabilités,
en cas de problèmes, sur le gouvernement ! Avec l'accord de ce dernier.
Que mon interprétation soit dite tendancieuse, je veux bien à la rigueur, mais il est impossible dans une démocratie, de donner des missions de contrôle de police aux ci-nommés ci-dessus. Leur faire accepter ces missions est les exposer à la vindicte populaire un jour prochain. Le boycott parisien contre les bistrots et restos est une riposte pacifique...gare à la suite...!
En outre le Conseil constitutionnel ne dit pas le droit, il ne peut que garantir le droit, si tant est qu'il ne soit pas sous influence. Or son président Fabius est directeur associé de la sulfureuse société Mc Kinsey qui est couverte de scandales de corruption et autres....
En droit français il est impossible que quiconque puisse exiger de savoir si un citoyen est vacciné, même pas la police. La police ne peut être habilitée qu'à demander l'identité des citoyens à condition que ceux-ci portent préjudice à l'ordre public. Donc ces missions de police, crées de tout pièce par la macronie et par un "conseil de défense sanitaire" très décrié, puisque sans contrôle, sont inconstitutionnels par définition, et vont faire l'objet d'un combat judiciaire auquel je participerai.., à moins que le caractère despotique du pouvoir dérive vers une situation de tous les dangers... et m'en empêche !
Je ne relèverai pas ici toutes les incohérences, bizarreries et contradictions auxquelles le Monde se livre depuis quelques temps sur la question du covid et du vaccin. Je note simplement que l'évolution de la situation environnementale, dite plus gravissime que jamais, ces jours derniers, dont les journalistes nous rabattent les oreilles, remplit la fonction particulière de détourner notre attention de la gravité de l'avenir de la République, du fait des pouvoirs spéciaux que Macron s'est approprié..
AM Chartier le 11-8-2021
Ce passe sanitaire a été adopté le 6-8-21 par le parlement et avalisé comme il se devait par le Conseil constitutionnel.
Samedi 7 août, 4ème semaine de manifestion en plein mois d'aôut contre ce passe. Ce ne sont pas 280 000 personnes qui ont manisfesté mais sans doute 5 fois plus... aux cris de "liberté". Manifestations hors des syndicats et partis, appelées par les réseaux sociaux.
Grands médias muets. Ils se sont vus imposer des discours succins et mensongers.
Tout est ouvert...
Jo Biden avait fait semblant de vouloir la levée des brevets sur les vaccins ! Mais l'Europe n'en a pas voulu !
L'OXFAM réclame à nouveau cette levée, car il est bien évident que le vaccin dit "miracle" n'est réservé qu'aux pays riches, ce qui sera un prétexte pour pratiquer encore plus d'ostracisme, de racisme, d'exclusion vis à vis des habitants des pays pauvres.
Dans cette situation les labos producteurs de vaccins et de médicaments en profitent pour augmenter leurs prix. Les labos ont facturé les vaccins aux gouvernements à 45 mds de dollars, tant il est vrai que les premiers acheteurs de vaccins sont les gouvernements, exactement comme ils sont les premiers acheteurs d'armes.
Les libéraux ne voudraient pas d'Etat ?? Mais que feraient-ils sans ces acheteurs extraordinaires que sont ls Etats, qui utilisent nos impôts, moins pour financer les hôpîtaux que pour acheter des armes et des vaccins !!
Continuons la guerre contre les pays pauvres, livrons leurs populations aux gangsters (les talibans devenus amis des USA ), et ne leur permettons pas l'accès aux vaccins.. Tout ceci est d'une lumineuse logique.
1-8-21
Snowden a annoncé en 2019 dans son livre "Mémoires vives" comment les USA rêvaient d'imiter la Chine en matière de contrôle de la population. Il était effaré de ce qui se mettait en place et a quitté la CIA en 2013 pour cela. Déjà 7 ans. Il dit aussi que cette surveillance n'était officiellement "justifiée" que par le terrorisme (!!!).L'ensemble des pays du monde, surtout les régimes de dictature, baigne dans une atmosphère où l'intérêt du contrôle des populations devient primordial. Les holdings en rêvent.
Sur ce, une pandémie s'est développée en Chine, du même type que H1N1 jadis fin 2019...... Tous les pays eurent les yeux braqués sur la Chine : est-ce vrai ? Y a t-il des morts ? Combien ? Les opposants chinois disent qu'il y a des morts cachés et que le gouvernement chinois interdit d'en parler.
Les nouvelles qu'on a de Chine sont celles que le gouvernement chinois veut bien donner. En fait on ne sait rien, et les opposants se sont tus: on les a fait taire.
La Chine a réagi avec violence contre la maladie, contre ceux qui en parlent, contre les malades en les enfermant chez eux, contre les opposants, tout cela bien mêlé.
Cette violence a donné des idées à tous les pays qui veulent endiguer leurs opposants. Il est possible de ce fait que beaucoup de pays forment leur police à la guerre civile ensemble et en même temps. D'ailleurs toutes les polices du monde se ressemblent et font exactement la même chose.
Le covid 19 a déferlé peu à peu dans le monde. Quelle que soit la gravité de cette maladie, beaucoup de pays ont pensé en profiter pour faire passer des lois liberticides. Ceci, sans qu'il y ait concertation ou complot.
Y-a-t-il eu en France et ailleurs des hôpitaux submergés par le nombre de malades du Covid . Oui pour des raisons très diverses.
Les différents gouvernements ont inventé leur scénario au fur et à mesure du déroulement de la pandémie, d'où les incohérences, les mensonges, les manipulations ..... ça n'a rien d'un scénario organisé à l'avance, un complot. Il s'agit d'une utilisation malsaine d'une situation non contrôlée par des voyous politiques qui connaissaient les possibilités offertes, et qui analysaient au jour le jour le comportement de la Chine, grande source d'inspiration. L'objectif étant de soumettre la population, de faire régresser la société, uniquement pour garder le pouvoir.
Ceci dit dans des pays très mal couverts par des systèmes de santé défaillants, la pandémie a pris des formes catastrophiques: morts en quantité, pertes des emplois, famines, malnutritions.... En Inde, au Brésil et dans d'autres pays, l'absence totale de soins a engendré de nombreux morts.
Donc oui il y a eu des effets graves de la maladie, des éléments
forts de dictature, des éléments d'inertie, de non réponse,
de désorganisation à tous les niveaux. Avec en face une
police aux ordres prête à tout. Le corps social a réagi,
et pas toujours dans le sens attendu, d'où des reculs, puis des redémarrages
offensifs, et de nouveaux reculs... etc
Tous les scénarios de complot sont évidemment attendus dans des
cas semblables. A l'opacité répond la complotisme. Les
histoires de complots ont au moins 20% de vrai, c'est ce qui les rend crédibles,
mais l'ensemble du grand schéma "complot mondial" est totalement
inexact, et impossible surtout à réaliser. Le pire dans tout cela
est que ce comportement gouvernemental donne aussi des idées à
une partie du corps social quant à la façon d'organiser le chacun
pour soi, la démerde au détriment d'autrui, le racisme, et permet
à l'extrême droite un développement sans précédent.
Ce qui se passe au Mexique où les gangsters de la drogue ont pris le contrôle de régions entières est le plus terrifiant. Avec l'appui plus que probable des USA.Au bout qu'y a-t-il ?? Peut-être la dictature.
Mais s'interdire de prendre en considération un ensemble de propositions et de faits contradictoires, paraît dangereux pour comprendre ce qui se passe.
AMC 9-12-20
Les uns expérimentent leur matériel militaire sur les populations au Moyen Orient (Europe, Israël, USA), les autres (les mêmes en fait) expérimentent leurs vaccins sur les enfants.
La barbarie, loin d'être un signe de crise économique, est un moyen d'y faire face; les taux de profit n'ont jamais été aussi élevés.
Par contre elle jette les populations dans des crises morales et culturelles sans fin. Elles finiront, à n'en pas douter, par trouver la voie vers le contrôle de ces voyous qui devront rendre des comptes.
mars 2018